« Face aux entreprises, la stratégie dilatoire de Trump avant les élections fonctionne. » souligne Le gardien. Dans une analyse, le journal de gauche rassemble deux décisions favorables à l’ancien président des Etats-Unis : tombées la semaine dernière, elles « Cela signifie presque certainement que deux des procès criminels prévus contre lui n’auront lieu qu’après l’élection présidentielle de 2024. »
En Floride, où il est question de gestion négligente de documents classifiés, la décision d’un juge nommé par Donald Trump reportée sine die l’ouverture du procès, le 7 mai – après avoir “Laissons les procédures préalables au procès s’accumuler au point qu’un procès en mai ne soit plus possible.”
En revanche, en Géorgie, le 9 mai «La cour d’appel de l’État a annoncé qu’elle étudierait un appel de Trump pour déterminer si le procureur Fani Willis (…) devait être exclu de l’affaire d’ingérence électorale dans laquelle il est visé pour avoir entretenu une relation avec un autre procureur».
Une seule affaire jugée avant novembre ?
Enfin, l’acte d’accusation le plus emblématique, celui de « complot contre l’Amérique » visant à renverser le résultat de l’élection présidentielle de 2020, « Il semble également peu probable qu’elle aboutisse à un procès avant les élections. La Cour suprême a entendu le mois dernier des arguments sur une éventuelle immunité judiciaire pour Trump et ne semble pas disposée à trancher la question assez rapidement pour que l’affaire puisse avancer avant les élections.»
Ne reste plus que l’affaire Stormy Daniels, dont le procès se tient actuellement à New York. L’ancienne actrice pornographique a témoigné la semaine dernière contre le milliardaire, accusé d’avoir falsifié des documents comptables lors de sa première campagne présidentielle pour dissimuler un paiement destiné à acheter son silence sur leur supposée liaison.
Sauf surprise, “Les électeurs ne pourront pas voir Trump jugé pour un éventuel comportement criminel au cours de son mandat précédent avant de décider de le ramener ou non à la Maison Blanche”, déplore le journal britannique. Et, s’il est réélu, l’intéressé entend mettre immédiatement fin à au moins deux dossiers, ajoute Le gardien : ceux qui ont été intentés par le ministère de la Justice sous Joe Biden.
« Face aux entreprises, la stratégie dilatoire de Trump avant les élections fonctionne. » souligne Le gardien. Dans une analyse, le journal de gauche rassemble deux décisions favorables à l’ancien président des Etats-Unis : tombées la semaine dernière, elles « Cela signifie presque certainement que deux des procès criminels prévus contre lui n’auront lieu qu’après l’élection présidentielle de 2024. »
En Floride, où il est question de gestion négligente de documents classifiés, la décision d’un juge nommé par Donald Trump reportée sine die l’ouverture du procès, le 7 mai – après avoir “Laissons les procédures préalables au procès s’accumuler au point qu’un procès en mai ne soit plus possible.”
En revanche, en Géorgie, le 9 mai «La cour d’appel de l’État a annoncé qu’elle étudierait un appel de Trump pour déterminer si le procureur Fani Willis (…) devait être exclu de l’affaire d’ingérence électorale dans laquelle il est visé pour avoir entretenu une relation avec un autre procureur».
Une seule affaire jugée avant novembre ?
Enfin, l’acte d’accusation le plus emblématique, celui de « complot contre l’Amérique » visant à renverser le résultat de l’élection présidentielle de 2020, « Il semble également peu probable qu’elle aboutisse à un procès avant les élections. La Cour suprême a entendu le mois dernier des arguments sur une éventuelle immunité judiciaire pour Trump et ne semble pas disposée à trancher la question assez rapidement pour que l’affaire puisse avancer avant les élections.»
Ne reste plus que l’affaire Stormy Daniels, dont le procès se tient actuellement à New York. L’ancienne actrice pornographique a témoigné la semaine dernière contre le milliardaire, accusé d’avoir falsifié des documents comptables lors de sa première campagne présidentielle pour dissimuler un paiement destiné à acheter son silence sur leur supposée liaison.
Sauf surprise, “Les électeurs ne pourront pas voir Trump jugé pour un éventuel comportement criminel au cours de son mandat précédent avant de décider de le ramener ou non à la Maison Blanche”, déplore le journal britannique. Et, s’il est réélu, l’intéressé entend mettre immédiatement fin à au moins deux dossiers, ajoute Le gardien : ceux qui ont été intentés par le ministère de la Justice sous Joe Biden.