“La démission de (Sergueï) Choïgou est relativement inattendue”, dit le politologue Vitaliy Koulyk, interrogé par le site Commentaire. Il est aujourd’hui l’un des rares observateurs en Ukraine à considérer comme une surprise le transfert du ministre russe de la Défense au Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, annoncé le 12 mai.
Une surprise qu’il explique en ces termes : « Beaucoup ne croyaient pas qu’il serait mis à l’écart. Des rumeurs circulaient sur son affaiblissement, notamment après l’arrestation de son adjoint Timur Ivanov. Mais la majorité a estimé que Choïgou resterait à son poste en tant que responsable de la défaite.» Kulyk souligne :
«Auparavant, le ministre s’était donné l’image d’un ‘maréchal de la victoire’, mais il est désormais clair qu’il n’y aura pas de victoire. Et nous avions besoin de quelqu’un sur qui rejeter toute la faute.
Un choix « symbolique et idéologique » quoi
“La démission de (Sergueï) Choïgou est relativement inattendue”, dit le politologue Vitaliy Koulyk, interrogé par le site Commentaire. Il est aujourd’hui l’un des rares observateurs en Ukraine à considérer comme une surprise le transfert du ministre russe de la Défense au Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, annoncé le 12 mai.
Une surprise qu’il explique en ces termes : « Beaucoup ne croyaient pas qu’il serait mis à l’écart. Des rumeurs circulaient sur son affaiblissement, notamment après l’arrestation de son adjoint Timur Ivanov. Mais la majorité a estimé que Choïgou resterait à son poste en tant que responsable de la défaite.» Kulyk souligne :
«Auparavant, le ministre s’était donné l’image d’un ‘maréchal de la victoire’, mais il est désormais clair qu’il n’y aura pas de victoire. Et nous avions besoin de quelqu’un sur qui rejeter toute la faute.
Un choix « symbolique et idéologique » quoi