Le cas du juge Szmydt, riche en rebondissements, continue de tenir en haleine les médias polonais. Il faut dire que ce magistrat, qui siégeait au tribunal administratif régional de Varsovie, a fui vers la Biélorussie voisine. Apparaissant le 6 mai sur les réseaux sociaux et lors d’une conférence de presse à Minsk, il a demandé “protection” du président biélorusse, Alexandre Loukachenko, apparaissant comme « persécuté et intimidé » par la Pologne. Depuis, il ne cesse d’alimenter les réseaux sociaux de sa nouvelle vie trépidante dans la dictature biélorusse et des défilés sur les plateaux télévisés des propagandistes russes.
“Le juge Szmydt n’était pas un juge ordinaire” souligne le site d’information en ligne Onet, de tendance libérale. «C’est d’une valeur inestimable pour les services biélorusses. Il avait accès à des documents classifiés. Tomasz Szmydt s’est en effet prononcé sur des refus de délivrer des habilitations de sécurité à des fonctionnaires polonais. “Il devait connaître l’arrière-plan des litiges entre les services et leurs agents”, ajoute Onet.
Ce qui est « s’inscrit parfaitement dans l’opération contre la Pologne menée depuis au moins trois ans au-delà de la frontière orientale de la Pologne.
Le cas du juge Szmydt, riche en rebondissements, continue de tenir en haleine les médias polonais. Il faut dire que ce magistrat, qui siégeait au tribunal administratif régional de Varsovie, a fui vers la Biélorussie voisine. Apparaissant le 6 mai sur les réseaux sociaux et lors d’une conférence de presse à Minsk, il a demandé “protection” du président biélorusse, Alexandre Loukachenko, apparaissant comme « persécuté et intimidé » par la Pologne. Depuis, il ne cesse d’alimenter les réseaux sociaux de sa nouvelle vie trépidante dans la dictature biélorusse et des défilés sur les plateaux télévisés des propagandistes russes.
“Le juge Szmydt n’était pas un juge ordinaire” souligne le site d’information en ligne Onet, de tendance libérale. «C’est d’une valeur inestimable pour les services biélorusses. Il avait accès à des documents classifiés. Tomasz Szmydt s’est en effet prononcé sur des refus de délivrer des habilitations de sécurité à des fonctionnaires polonais. “Il devait connaître l’arrière-plan des litiges entre les services et leurs agents”, ajoute Onet.
Ce qui est « s’inscrit parfaitement dans l’opération contre la Pologne menée depuis au moins trois ans au-delà de la frontière orientale de la Pologne.