Quarante ans se sont écoulés depuis la diffusion de l’extraordinaire publicité d’Apple pour le Super Bowl en février 1984, nous rappelle-t-on. Le New York Times. Pour annoncer l’avènement du Macintosh et une nouvelle guérilla créative contre le monopole mondial du PC, Steve Jobs, co-fondateur visionnaire de la marque, n’a pas lésiné sur la symbolique révolutionnaire. Le clip montrait un jeune athlète armé d’une masse, traversant, avec la police aux trousses, un univers gris et oppressant peuplé de zombies orwelliens, avant de lancer l’outil sur l’immense écran où se promenait un dictateur pour faire naître la lumière et la liberté. .
Depuis lors, Apple est devenue une puissance mondiale avec une capitalisation boursière de plus de 2 800 milliards de dollars, suffisamment indifférente aux inquiétudes du public concernant l’essor de la technologie pour s’infliger l’une des pires farces en matière de communication. de son existence. Pour promouvoir son nouvel iPad Pro ultra-fin propulsé par des semi-conducteurs de nouvelle génération et une intelligence artificielle, Apple n’a rien trouvé de mieux que cette image : une presse hydraulique géante écrasant un fouillis de symboles artistiques et culturels, un piano, une trompette, des livres et des pots de peinture, bientôt remplacé par sa merveille informatique ultra-mince, le nouveau chevalet de la renaissance créative.
C’est loin d’être le but et hors de propos, si catégoriquement mercantile queSemaine publicitaire, bible des fils et filles de la publicité, doit se résoudre à un peu d’enseignement
Quarante ans se sont écoulés depuis la diffusion de l’extraordinaire publicité d’Apple pour le Super Bowl en février 1984, nous rappelle-t-on. Le New York Times. Pour annoncer l’avènement du Macintosh et une nouvelle guérilla créative contre le monopole mondial du PC, Steve Jobs, co-fondateur visionnaire de la marque, n’a pas lésiné sur la symbolique révolutionnaire. Le clip montrait un jeune athlète armé d’une masse, traversant, avec la police aux trousses, un univers gris et oppressant peuplé de zombies orwelliens, avant de lancer l’outil sur l’immense écran où se promenait un dictateur pour faire naître la lumière et la liberté. .
Depuis lors, Apple est devenue une puissance mondiale avec une capitalisation boursière de plus de 2 800 milliards de dollars, suffisamment indifférente aux inquiétudes du public concernant l’essor de la technologie pour s’infliger l’une des pires farces en matière de communication. de son existence. Pour promouvoir son nouvel iPad Pro ultra-fin propulsé par des semi-conducteurs de nouvelle génération et une intelligence artificielle, Apple n’a rien trouvé de mieux que cette image : une presse hydraulique géante écrasant un fouillis de symboles artistiques et culturels, un piano, une trompette, des livres et des pots de peinture, bientôt remplacé par sa merveille informatique ultra-mince, le nouveau chevalet de la renaissance créative.
C’est loin d’être le but et hors de propos, si catégoriquement mercantile queSemaine publicitaire, bible des fils et filles de la publicité, doit se résoudre à un peu d’enseignement