La présidente de la province Sud, Sonia Backès, dénonce le racisme anti-Blancs
La principale figure du camp non indépendantiste en Nouvelle-Calédonie, l’ancienne secrétaire d’État Sonia Backès, a dénoncé mardi la “insultes racistes” de ceux qui ont incendié la maison de son père lors des violences sur le territoire français du Pacifique. “S’il n’a pas été attaqué parce qu’il était mon père, il a au moins été attaqué parce qu’il était blanc.”a déclaré le président de la province Sud de Nouvelle-Calédonie, interrogé sur BFMTV. “Pendant cinq heures, il a été insulté, lapidé, ils l’ont vu, ils savent qui c’est”a ajouté Sonia Backès, déplorant “insultes racistes”.
Selon Gérald Darmanin, des gendarmes sont intervenus pour secourir le père de Sonaï Backès, âgé de 79 ans. « Il y a un manque de compréhension pour cette génération (…) d’entendre des gens qui leur disent de rentrer chez eux alors qu’ils sont ici depuis quatre-vingts ans, la plupart sont nés ici et ils ne sont pas nés ailleurs »a souligné l’ancien secrétaire d’Etat. “En écoutant les indépendantistes, nous devenons des étrangers dans notre propre pays et c’est particulièrement triste”elle a ajouté.
Sonia Backès a une nouvelle fois défendu la réforme actuellement à l’étude à Paris, qui vise à élargir le corps électoral aux élections provinciales. “Nous ne sommes pas du tout dans un projet provocateur”a-t-elle estimé. « Aujourd’hui, les indépendantistes ont 16 % de voix en moins que nous et ils ont un siège de plus, ce qui signifie qu’ils dirigent les institutions même s’ils sont minoritaires »dit-elle.
La présidente de la province Sud, Sonia Backès, dénonce le racisme anti-Blancs
La principale figure du camp non indépendantiste en Nouvelle-Calédonie, l’ancienne secrétaire d’État Sonia Backès, a dénoncé mardi la “insultes racistes” de ceux qui ont incendié la maison de son père lors des violences sur le territoire français du Pacifique. “S’il n’a pas été attaqué parce qu’il était mon père, il a au moins été attaqué parce qu’il était blanc.”a déclaré le président de la province Sud de Nouvelle-Calédonie, interrogé sur BFMTV. “Pendant cinq heures, il a été insulté, lapidé, ils l’ont vu, ils savent qui c’est”a ajouté Sonia Backès, déplorant “insultes racistes”.
Selon Gérald Darmanin, des gendarmes sont intervenus pour secourir le père de Sonaï Backès, âgé de 79 ans. « Il y a un manque de compréhension pour cette génération (…) d’entendre des gens qui leur disent de rentrer chez eux alors qu’ils sont ici depuis quatre-vingts ans, la plupart sont nés ici et ils ne sont pas nés ailleurs »a souligné l’ancien secrétaire d’Etat. “En écoutant les indépendantistes, nous devenons des étrangers dans notre propre pays et c’est particulièrement triste”elle a ajouté.
Sonia Backès a une nouvelle fois défendu la réforme actuellement à l’étude à Paris, qui vise à élargir le corps électoral aux élections provinciales. “Nous ne sommes pas du tout dans un projet provocateur”a-t-elle estimé. « Aujourd’hui, les indépendantistes ont 16 % de voix en moins que nous et ils ont un siège de plus, ce qui signifie qu’ils dirigent les institutions même s’ils sont minoritaires »dit-elle.