Les récentes arrestations de deux avocats et de deux journalistes en Tunisie pour avoir critiqué la situation dans le pays interviennent dans un contexte d’inquiétudes persistantes quant à l’état des libertés politiques et individuelles depuis que le président Kais Saied a pris davantage de pouvoirs en 2021 et a ensuite signé un décret interdisant « la diffusion de fausses nouvelles ». » qui, selon les journalistes et les personnalités de l’opposition, est utilisée pour étouffer la dissidence.