L’amendement du gouvernement a été adopté par 30 voix contre 18. Il prévoit un regroupement de France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’Ina.
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Temps de lecture : 1 min
Une première étape. Les députés ont voté en commission, mardi 14 mai au soir, la fusion des entreprises publiques de l’audiovisuel au 1er janvier 2026, voulue par la ministre de la Culture Rachida Dati, mais décriée par la gauche et les syndicats. L’amendement du gouvernement prévoyant cette fusion de France Télévisions, Radio France, France Médias Monde (RFI, France 24) et l’Ina a été adopté par 30 voix contre 18, dans le cadre de l’examen en première lecture d’une proposition de loi du Sénat.
« Le moment politique est venu » pour un “fusionnement” en 2026, a insisté la ministre de la Culture, Rachida Dati, en ouvrant en commission l’examen législatif de ce big bang de l’audiovisuel public. Après un “phase intermédiaire” sous un régime de détention en 2025, “but” de cette réforme est “l’entreprise unique”a assuré Rachida Dati. « Le sujet est mûr », a-t-elle assuré. Selon elle, la radiodiffusion publique a «des atouts indéniables» mais aujourd’hui “Dispersé”ce qui l’expose à “risque d’affaiblissement” face à la concurrence des plateformes internationales comme Netflix. L’entreprise géante disposerait d’un budget de quatre milliards d’euros et la réforme toucherait 16 000 salariés.
Pour cette première étape législative, quelque 290 amendements doivent être étudiés jusqu’à mercredi. Ensuite, le texte doit passer en première lecture dans l’hémicycle les 23 et 24 mai, sauf embouteillage législatif qui le repousserait au 24 juin voire septembre. Opposés au projet, les syndicats ont déjà appelé à une grève de deux jours en mai.
L’amendement du gouvernement a été adopté par 30 voix contre 18. Il prévoit un regroupement de France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’Ina.
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Une première étape. Les députés ont voté en commission, mardi 14 mai au soir, la fusion des entreprises publiques de l’audiovisuel au 1er janvier 2026, voulue par la ministre de la Culture Rachida Dati, mais décriée par la gauche et les syndicats. L’amendement du gouvernement prévoyant cette fusion de France Télévisions, Radio France, France Médias Monde (RFI, France 24) et l’Ina a été adopté par 30 voix contre 18, dans le cadre de l’examen en première lecture d’une proposition de loi du Sénat.
« Le moment politique est venu » pour un “fusionnement” en 2026, a insisté la ministre de la Culture, Rachida Dati, en ouvrant en commission l’examen législatif de ce big bang de l’audiovisuel public. Après un “phase intermédiaire” sous un régime de détention en 2025, “but” de cette réforme est “l’entreprise unique”a assuré Rachida Dati. « Le sujet est mûr », a-t-elle assuré. Selon elle, la radiodiffusion publique a «des atouts indéniables» mais aujourd’hui “Dispersé”ce qui l’expose à “risque d’affaiblissement” face à la concurrence des plateformes internationales comme Netflix. L’entreprise géante disposerait d’un budget de quatre milliards d’euros et la réforme toucherait 16 000 salariés.
Pour cette première étape législative, quelque 290 amendements doivent être étudiés jusqu’à mercredi. Ensuite, le texte doit passer en première lecture dans l’hémicycle les 23 et 24 mai, sauf embouteillage législatif qui le repousserait au 24 juin voire septembre. Opposés au projet, les syndicats ont déjà appelé à une grève de deux jours en mai.