Tadej Pogacar a définitivement assommé le Tour d’Italie en remportant seul, loin devant tous les autres, l’étape reine dimanche à Livigno.
Attaquant à 14 kilomètres de l’arrivée, le Slovène a rattrapé un à un les échappés du jour pour s’imposer en tête avec près de trois minutes d’avance sur les autres favoris. C’est déjà sa quatrième victoire d’étape sur ce Giro.
Il s’envole en tête du classement général où il compte désormais six minutes et demie d’avance sur son dauphin, le Britannique Geraint Thomas, sixième de l’étape juste derrière Daniel Martinez et Romain Bardet.
C’est déjà la quatrième victoire d’étape de ce Tour d’Italie qu’il découvre cette année avec l’ambition de devenir le premier coureur depuis Macro Pantani en 1998 à réaliser le doublé Giro-Tour de France.
Pogacar a lancé son attaque après un ultime relais de son fidèle lieutenant Majka. Tel un Pacman rose, il engloutit tous les survivants de l’imposante « fuga » matinale, les dépassant sans un regard.
Tadej Pogacar a définitivement assommé le Tour d’Italie en remportant seul, loin devant tous les autres, l’étape reine dimanche à Livigno.
Attaquant à 14 kilomètres de l’arrivée, le Slovène a rattrapé un à un les échappés du jour pour s’imposer en tête avec près de trois minutes d’avance sur les autres favoris. C’est déjà sa quatrième victoire d’étape sur ce Giro.
Il s’envole en tête du classement général où il compte désormais six minutes et demie d’avance sur son dauphin, le Britannique Geraint Thomas, sixième de l’étape juste derrière Daniel Martinez et Romain Bardet.
C’est déjà la quatrième victoire d’étape de ce Tour d’Italie qu’il découvre cette année avec l’ambition de devenir le premier coureur depuis Macro Pantani en 1998 à réaliser le doublé Giro-Tour de France.
Pogacar a lancé son attaque après un ultime relais de son fidèle lieutenant Majka. Tel un Pacman rose, il engloutit tous les survivants de l’imposante « fuga » matinale, les dépassant sans un regard.