Considérant qu’elle devait sauver la face après l’attaque de son consulat à Damas le 1er avril, la République islamique d’Iran a mené ses frappes contre Israël en cherchant à éviter une conflagration régionale. L’événement est pourtant historique et un cap a été franchi : la guerre de l’ombre pourrait devenir une guerre ouverte.