La mort inattendue, dimanche 19 mai dans un accident d’hélicoptère, du président iranien Ebrahim Raïssi, longtemps considéré comme le successeur du guide suprême iranien, a ravivé les craintes (et les espoirs) concernant l’avenir politique de la République islamique, déjà fragilisée par une contestation populaire. soulèvement il y a plus d’un an et par la guerre actuelle à Gaza.
Des analystes de la presse persanophone évoquent la possibilité d’un « crise de succession », voire une crise de régime si le fils de l’actuel guide suprême, L’ayatollah Ali Khamenei lui succéderait, ce qui marquerait un tournant et une première au sein d’un régime fondé sur la négation de la « dynastie héréditaire », et porterait donc encore davantage atteinte à sa légitimité.
Selon Radio Farda, médias établis à Prague, la République islamique est ainsi « dans une situation inédite » depuis les années 1980, lorsque plusieurs hauts responsables iraniens ont été assassinés au lendemain de la Révolution islamique.
Dans les prochaines semaines, la mort de Raïssi pourrait « intensifier les rivalités au sein du camp conservateur » (un nouveau chef de l’Etat doit être élu dans les cinquante jours), qui tient les rênes du pouvoir. LE « jeu politique » et la course aux candidatures, censée débuter d’ici quelques années, débutera ainsi “tôt” et pressé, quels risques
La mort inattendue, dimanche 19 mai dans un accident d’hélicoptère, du président iranien Ebrahim Raïssi, longtemps considéré comme le successeur du guide suprême iranien, a ravivé les craintes (et les espoirs) concernant l’avenir politique de la République islamique, déjà fragilisée par une contestation populaire. soulèvement il y a plus d’un an et par la guerre actuelle à Gaza.
Des analystes de la presse persanophone évoquent la possibilité d’un « crise de succession », voire une crise de régime si le fils de l’actuel guide suprême, L’ayatollah Ali Khamenei lui succéderait, ce qui marquerait un tournant et une première au sein d’un régime fondé sur la négation de la « dynastie héréditaire », et porterait donc encore davantage atteinte à sa légitimité.
Selon Radio Farda, médias établis à Prague, la République islamique est ainsi « dans une situation inédite » depuis les années 1980, lorsque plusieurs hauts responsables iraniens ont été assassinés au lendemain de la Révolution islamique.
Dans les prochaines semaines, la mort de Raïssi pourrait « intensifier les rivalités au sein du camp conservateur » (un nouveau chef de l’Etat doit être élu dans les cinquante jours), qui tient les rênes du pouvoir. LE « jeu politique » et la course aux candidatures, censée débuter d’ici quelques années, débutera ainsi “tôt” et pressé, quels risques