Les Jeux Olympiques de Paris 2024 génèrent de nombreux projets : planification des ressources, technologie, héritage, etc., pour lesquels des attentes opérationnelles très fortes doivent coïncider avec un cadre complexe. Quelque 500 consultants ont travaillé sur plus de 450 projets.
On le sait peu, mais il est de tradition que les comités d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) fassent appel à un grand cabinet de conseil pour les accompagner sur un certain nombre de dossiers. Pour Paris 2024, c’est PwC qui a été choisi – ou plus précisément son entité en France, qui regroupe quelque 7 000 salariés. PwC est donc partenaire officiel des Jeux Olympiques de Paris 2024, après la ratification du contrat le 6 juillet 2021, soit il y a presque trois ans.
Spectre très large
« Au total, quelque 500 consultants ont contribué à plus de 450 projetssouligne Éric Dumont, associé Sport et Mega Events chez PwC France et Maghreb, sachant que le spectre de nos interventions sur les Jeux est particulièrement large, entre relations avec les fournisseurs et dialogue, soutenu par des interactions régulières, avec les principales parties prenantes à la réalisation des Jeux : CIO, principaux prestataires, représentants de l’État et des collectivités, organisateurs en charge des sites (…). »
Organisation mondiale
Bref, ce sont presque tous les aspects des JOP, qui nécessitent une expertise dans une série de domaines où le cabinet de conseil a une solide valeur ajoutée : management, stratégie, risques, technologies, juridique et fiscal… Rappelons que les Jeux sont un événement mondial. organisation, avec la nécessité de faire correspondre des attentes opérationnelles très fortes à un cadre particulièrement complexe.
Des exemples particulièrement stimulants de la contribution de PwC incluent « qui fait quoi et à quelle heure ». Le cabinet a travaillé sur un outil capable, le grand jour d’un événement, de recenser toutes les personnes présentes sur le site (personnel chargé de la sécurité, de la santé, des bénévoles, etc.) et de réguler au mieux leurs allées -et- venues.
Des dizaines d’applications
Autre exemple tout aussi dynamique : les candidatures. Le cabinet a accompagné le développement de normes et standards technologiques pour près de 200 applications, qui couvrent là encore un spectre très large, reflétant la diversité des besoins.
Par exemple, comment bien automatiser les déploiements d’applications afin d’optimiser les temps d’intervention et de mise à jour en cas d’incident (normes DevSecOps) ; comment bien mesurer la consommation des coûts du cloud et ainsi les optimiser (FinOps/GreenOps) ; ou encore quelles sont les architectures logicielles standards des applications mobiles des Jeux afin de garantir qu’elles soient construites de manière homogène et se prêtent facilement aux opérations de maintenance.
Sélection des bénévoles
Dans un domaine pas si lointain, le cabinet a travaillé sur la sélection desdits bénévoles. “Le Cojo (Comité d’organisation de Paris 2024, NDLR) reçu environ 350 000 candidatures avec l’idée d’en retenir 45 000se souvient Éric Dumont. Il fallait une gare de triage capable de discerner les profils potentiellement malveillants. Nous avons joué ce rôle. »
Concrètement, dans le cadre de cette identification de profils de bénévoles frauduleux, les data scientists de PwC France ont réalisé des analyses ciblées de la base de données des candidatures.
Accéder au pouvoir
De manière générale, depuis 2021, PwC a relayé la montée en puissance de Cojo, dans le but de faire en sorte que les activités soient le moins cloisonnées possible. Progressivement, on a vu émerger des sujets particulièrement sensibles, comme celui du stockage des données, où les impératifs de souveraineté nationale ont dû être pris en compte.
La mission de PwC aux côtés de Cojo ne s’arrête pas en septembre prochain, immédiatement après la fin des Jeux Paralympiques. Il pourrait même fonctionner jusqu’à l’été 2025.
L’héritage de Paris 2024 est un sujet en soi, sans prendre en compte les contestations qui pourraient éventuellement surgir après l’événement. Autant dire que l’expertise du cabinet doit encore une fois s’appliquer dans de nombreux registres.
Alpes françaises
De manière générale, PwC n’en a pas fini avec l’aventure olympique. Les compétitions pour les Jeux de 2024 n’ont même pas commencé et ses consultants ont déjà en ligne de mire l’échéance de 2030.
2030 est l’année où les Jeux d’hiver se dérouleront dans les Alpes françaises, sachant que le Comité National Olympique et Sportif français (CNOSF) est étroitement associé pour l’occasion aux deux régions Provence Alpes Côte d’Azur et Auvergne-Rhône-Alpes. . Un nouveau défi auquel PwC a déjà contribué dans le cadre de la constitution du dossier de candidature pour la Région Sud.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 génèrent de nombreux projets : planification des ressources, technologie, héritage, etc., pour lesquels des attentes opérationnelles très fortes doivent coïncider avec un cadre complexe. Quelque 500 consultants ont travaillé sur plus de 450 projets.
On le sait peu, mais il est de tradition que les comités d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) fassent appel à un grand cabinet de conseil pour les accompagner sur un certain nombre de dossiers. Pour Paris 2024, c’est PwC qui a été choisi – ou plus précisément son entité en France, qui regroupe quelque 7 000 salariés. PwC est donc partenaire officiel des Jeux Olympiques de Paris 2024, après la ratification du contrat le 6 juillet 2021, soit il y a presque trois ans.
Spectre très large
« Au total, quelque 500 consultants ont contribué à plus de 450 projetssouligne Éric Dumont, associé Sport et Mega Events chez PwC France et Maghreb, sachant que le spectre de nos interventions sur les Jeux est particulièrement large, entre relations avec les fournisseurs et dialogue, soutenu par des interactions régulières, avec les principales parties prenantes à la réalisation des Jeux : CIO, principaux prestataires, représentants de l’État et des collectivités, organisateurs en charge des sites (…). »
Organisation mondiale
Bref, ce sont presque tous les aspects des JOP, qui nécessitent une expertise dans une série de domaines où le cabinet de conseil a une solide valeur ajoutée : management, stratégie, risques, technologies, juridique et fiscal… Rappelons que les Jeux sont un événement mondial. organisation, avec la nécessité de faire correspondre des attentes opérationnelles très fortes à un cadre particulièrement complexe.
Des exemples particulièrement stimulants de la contribution de PwC incluent « qui fait quoi et à quelle heure ». Le cabinet a travaillé sur un outil capable, le grand jour d’un événement, de recenser toutes les personnes présentes sur le site (personnel chargé de la sécurité, de la santé, des bénévoles, etc.) et de réguler au mieux leurs allées -et- venues.
Des dizaines d’applications
Autre exemple tout aussi dynamique : les candidatures. Le cabinet a accompagné le développement de normes et standards technologiques pour près de 200 applications, qui couvrent là encore un spectre très large, reflétant la diversité des besoins.
Par exemple, comment bien automatiser les déploiements d’applications afin d’optimiser les temps d’intervention et de mise à jour en cas d’incident (normes DevSecOps) ; comment bien mesurer la consommation des coûts du cloud et ainsi les optimiser (FinOps/GreenOps) ; ou encore quelles sont les architectures logicielles standards des applications mobiles des Jeux afin de garantir qu’elles soient construites de manière homogène et se prêtent facilement aux opérations de maintenance.
Sélection des bénévoles
Dans un domaine pas si lointain, le cabinet a travaillé sur la sélection desdits bénévoles. “Le Cojo (Comité d’organisation de Paris 2024, NDLR) reçu environ 350 000 candidatures avec l’idée d’en retenir 45 000se souvient Éric Dumont. Il fallait une gare de triage capable de discerner les profils potentiellement malveillants. Nous avons joué ce rôle. »
Concrètement, dans le cadre de cette identification de profils de bénévoles frauduleux, les data scientists de PwC France ont réalisé des analyses ciblées de la base de données des candidatures.
Accéder au pouvoir
De manière générale, depuis 2021, PwC a relayé la montée en puissance de Cojo, dans le but de faire en sorte que les activités soient le moins cloisonnées possible. Progressivement, on a vu émerger des sujets particulièrement sensibles, comme celui du stockage des données, où les impératifs de souveraineté nationale ont dû être pris en compte.
La mission de PwC aux côtés de Cojo ne s’arrête pas en septembre prochain, immédiatement après la fin des Jeux Paralympiques. Il pourrait même fonctionner jusqu’à l’été 2025.
L’héritage de Paris 2024 est un sujet en soi, sans prendre en compte les contestations qui pourraient éventuellement surgir après l’événement. Autant dire que l’expertise du cabinet doit encore une fois s’appliquer dans de nombreux registres.
Alpes françaises
De manière générale, PwC n’en a pas fini avec l’aventure olympique. Les compétitions pour les Jeux de 2024 n’ont même pas commencé et ses consultants ont déjà en ligne de mire l’échéance de 2030.
2030 est l’année où les Jeux d’hiver se dérouleront dans les Alpes françaises, sachant que le Comité National Olympique et Sportif français (CNOSF) est étroitement associé pour l’occasion aux deux régions Provence Alpes Côte d’Azur et Auvergne-Rhône-Alpes. . Un nouveau défi auquel PwC a déjà contribué dans le cadre de la constitution du dossier de candidature pour la Région Sud.