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Durée de la vidéo : 3 minutes
L’engouement ne cesse de croître en France. En 2022, 80 millions de livres d’occasion ont été vendus et désormais des rayons entiers leur sont dédiés dans les librairies et les grandes surfaces.
Dans la librairie historique Le Furet du Nord à Lille (Nord), des poubelles façon librairie sont installées à l’entrée. Les livres d’occasion sont vendus à petits prix à partir de 3,99 euros. Romans ou mangas, les clients trouvent ce qu’ils cherchent en cherchant. Au sous-sol, un département entier est même dédié à l’occasion. Près de 30 000 livres ont été vendus en un an, et les bacs se remplissent chaque jour. Longtemps réservé aux petites librairies ou aux bouquinistes, le livre d’occasion investit les grandes marques.
Une alternative plus écologique
Les biens d’occasion constituent un marché très rémunérateur pour les marques. « C’est une offre complémentaire intéressante pour les clients et pour l’entreprise », observe Damien Brunet, le chef de service. L’enseigne double presque ses marges sur la vente de livres d’occasion par rapport aux livres neufs, car la librairie les rachète à bas prix. Les clients qui souhaitent se débarrasser de leurs livres reçoivent des bons d’achat. Malgré les transports, pour les amateurs de lecture, les livres d’occasion restent l’option la plus écologique. Son empreinte carbone est d’environ 300 g de CO2, soit trois fois moins que pour un livre neuf.
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L’engouement ne cesse de croître en France. En 2022, 80 millions de livres d’occasion ont été vendus et désormais des rayons entiers leur sont dédiés dans les librairies et les grandes surfaces.
Dans la librairie historique Le Furet du Nord à Lille (Nord), des poubelles façon librairie sont installées à l’entrée. Les livres d’occasion sont vendus à petits prix à partir de 3,99 euros. Romans ou mangas, les clients trouvent ce qu’ils cherchent en cherchant. Au sous-sol, un département entier est même dédié à l’occasion. Près de 30 000 livres ont été vendus en un an, et les bacs se remplissent chaque jour. Longtemps réservé aux petites librairies ou aux bouquinistes, le livre d’occasion investit les grandes marques.
Une alternative plus écologique
Les biens d’occasion constituent un marché très rémunérateur pour les marques. « C’est une offre complémentaire intéressante pour les clients et pour l’entreprise », observe Damien Brunet, le chef de service. L’enseigne double presque ses marges sur la vente de livres d’occasion par rapport aux livres neufs, car la librairie les rachète à bas prix. Les clients qui souhaitent se débarrasser de leurs livres reçoivent des bons d’achat. Malgré les transports, pour les amateurs de lecture, les livres d’occasion restent l’option la plus écologique. Son empreinte carbone est d’environ 300 g de CO2, soit trois fois moins que pour un livre neuf.