Nous n’en sommes actuellement qu’au stade de proposition, mais si ce projet de loi voyait le jour, ce serait « une avancée majeure dans les relations entre l’UE et le Royaume-Uni », dans les paroles de Gardien.
Jeudi 18 avril, la Commission européenne « a proposé d’ouvrir des négociations avec Londres pour permettre à des millions de jeunes de 18 à 30 ans de retrouver la liberté de circulation dont ils bénéficiaient avant le Brexit », rapporte le journal progressiste. Concrètement, cela impliquerait de permettre aux citoyens de l’UE de cette tranche d’âge de s’installer au Royaume-Uni (et vice versa) sans avoir à fournir de justificatif de visa (pour une durée maximale de quatre ans), comme c’était le cas avant que Londres ne décide de quitter le Royaume-Uni. le bloc communautaire.
Depuis le 31 janvier 2020, date à laquelle le Brexit est devenu effectif, peut-on lire dans le communiqué publié par la Commission, « Le retrait du Royaume-Uni de l’UE a entraîné une réduction de la mobilité entre les deux blocs, ce qui a particulièrement affecté les perspectives des jeunes ». D’où l’intérêt de Bruxelles à changer cette situation.
Quant à Londres, l’intérêt d’un tel accord pour le Royaume-Uni est évident et son importance cruciale, estime le Gardien. Le journal, autrefois farouchement opposé au Brexit, s’empresse déjà d’énumérer les avantages possibles d’un tel accord :
“Des millions de jeunes pourraient venir au Royaume-Uni pour combler le vide laissé par le Brexit dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration, mais aussi dans les universités, qui pourraient aussi recruter plus facilement des chercheurs.”
Toutefois, pour être finalisée, cette proposition devra être approuvée par les États membres qui composent l’UE, et le chemin risque d’être long et périlleux quand on sait que, dans le passé, certains pays du bloc et même le Commission elle-même «étaient farouchement opposés à toute concession au Royaume-Uni après le Brexit», conclut le journal londonien.
Nous n’en sommes actuellement qu’au stade de proposition, mais si ce projet de loi voyait le jour, ce serait « une avancée majeure dans les relations entre l’UE et le Royaume-Uni », dans les paroles de Gardien.
Jeudi 18 avril, la Commission européenne « a proposé d’ouvrir des négociations avec Londres pour permettre à des millions de jeunes de 18 à 30 ans de retrouver la liberté de circulation dont ils bénéficiaient avant le Brexit », rapporte le journal progressiste. Concrètement, cela impliquerait de permettre aux citoyens de l’UE de cette tranche d’âge de s’installer au Royaume-Uni (et vice versa) sans avoir à fournir de justificatif de visa (pour une durée maximale de quatre ans), comme c’était le cas avant que Londres ne décide de quitter le Royaume-Uni. le bloc communautaire.
Depuis le 31 janvier 2020, date à laquelle le Brexit est devenu effectif, peut-on lire dans le communiqué publié par la Commission, « Le retrait du Royaume-Uni de l’UE a entraîné une réduction de la mobilité entre les deux blocs, ce qui a particulièrement affecté les perspectives des jeunes ». D’où l’intérêt de Bruxelles à changer cette situation.
Quant à Londres, l’intérêt d’un tel accord pour le Royaume-Uni est évident et son importance cruciale, estime le Gardien. Le journal, autrefois farouchement opposé au Brexit, s’empresse déjà d’énumérer les avantages possibles d’un tel accord :
“Des millions de jeunes pourraient venir au Royaume-Uni pour combler le vide laissé par le Brexit dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration, mais aussi dans les universités, qui pourraient aussi recruter plus facilement des chercheurs.”
Toutefois, pour être finalisée, cette proposition devra être approuvée par les États membres qui composent l’UE, et le chemin risque d’être long et périlleux quand on sait que, dans le passé, certains pays du bloc et même le Commission elle-même «étaient farouchement opposés à toute concession au Royaume-Uni après le Brexit», conclut le journal londonien.