ÔIl pensait tout savoir de la canicule de 2003 et de sa canicule dévastatrice. Notamment que le Dr Patrick Pelloux a été le premier à tirer la sonnette d’alarme sur cette catastrophe en Le Parisien, en voyant des personnes âgées déshydratées se rassembler dans les couloirs de l’hôpital Saint-Antoine à Paris. C’est alors qu’il gagne ses galons médiatiques.
On ne se doutait pas, en revanche, que certains de ses internes et jeunes chefs de clinique devaient « repousser le regard lubrique et les mains errantes d’un des médecins seniors à la réputation de Don Juan bien établie ». C’est en tout cas ce que lui reproche l’actuel chef du service des maladies infectieuses de cet hôpital du 12.e Quartier parisien, la célèbre professeure Karine Lacombe – devenue à son tour…