Emmanuel Macron a assuré vendredi le Premier ministre libanais Najib Mikati, reçu à Paris, de “l’engagement de la France à faire tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher la montée des violences entre le Liban et Israël”, a rapporté l’Elysée.
Le président français, qui a également rencontré le chef de l’armée libanaise Joseph Aoun, a notamment « exprimé sa détermination à continuer d’apporter aux Forces armées libanaises le soutien dont elles ont besoin », ont ajouté ses services dans un communiqué.
Stabilité du Liban
Selon la présidence, Emmanuel Macron “continue d’agir pour la stabilité du Liban de manière à ce qu’il soit protégé des risques liés à l’escalade des tensions au Moyen-Orient”. « Dans ce contexte, il a rappelé l’engagement français au sein de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) et souligné la responsabilité de chacun à son égard, afin qu’elle puisse exercer pleinement ses responsabilités. »
“La France agira en ce sens avec tous ceux qui sont prêts à s’impliquer davantage, notamment ses partenaires européens, à la suite des conclusions du Conseil européen extraordinaire” qui s’est tenu mercredi et jeudi à Bruxelles, selon ce communiqué.
Le chef de l’Etat, qui s’est également entretenu par téléphone avec le président de la Chambre des députés Nabih Berri, a une nouvelle fois appelé “les dirigeants politiques à trouver enfin une issue à la crise institutionnelle qui fragilise le Liban”. .
Paris appelle « à arrêter l’escalade militaire » entre l’Iran et Israël
La France a réitéré vendredi son appel “à arrêter l’escalade militaire au Moyen-Orient” après l’attaque attribuée à Israël contre l’Iran.
Cela “n’est dans l’intérêt de personne et ne ferait qu’accroître l’instabilité et l’insécurité au Moyen-Orient”, a réagi Christophe Lemoine, porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères. “La France travaille à la désescalade avec ses partenaires”, a-t-il ajouté dans une déclaration écrite.
Emmanuel Macron a assuré vendredi le Premier ministre libanais Najib Mikati, reçu à Paris, de “l’engagement de la France à faire tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher la montée des violences entre le Liban et Israël”, a rapporté l’Elysée.
Le président français, qui a également rencontré le chef de l’armée libanaise Joseph Aoun, a notamment « exprimé sa détermination à continuer d’apporter aux Forces armées libanaises le soutien dont elles ont besoin », ont ajouté ses services dans un communiqué.
Stabilité du Liban
Selon la présidence, Emmanuel Macron “continue d’agir pour la stabilité du Liban de manière à ce qu’il soit protégé des risques liés à l’escalade des tensions au Moyen-Orient”. « Dans ce contexte, il a rappelé l’engagement français au sein de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) et souligné la responsabilité de chacun à son égard, afin qu’elle puisse exercer pleinement ses responsabilités. »
“La France agira en ce sens avec tous ceux qui sont prêts à s’impliquer davantage, notamment ses partenaires européens, à la suite des conclusions du Conseil européen extraordinaire” qui s’est tenu mercredi et jeudi à Bruxelles, selon ce communiqué.
Le chef de l’Etat, qui s’est également entretenu par téléphone avec le président de la Chambre des députés Nabih Berri, a une nouvelle fois appelé “les dirigeants politiques à trouver enfin une issue à la crise institutionnelle qui fragilise le Liban”. .
Paris appelle « à arrêter l’escalade militaire » entre l’Iran et Israël
La France a réitéré vendredi son appel “à arrêter l’escalade militaire au Moyen-Orient” après l’attaque attribuée à Israël contre l’Iran.
Cela “n’est dans l’intérêt de personne et ne ferait qu’accroître l’instabilité et l’insécurité au Moyen-Orient”, a réagi Christophe Lemoine, porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères. “La France travaille à la désescalade avec ses partenaires”, a-t-il ajouté dans une déclaration écrite.