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Durée de la vidéo : 2 minutes
La France, ainsi que la communauté internationale, ont lancé vendredi 19 avril des appels à la retenue après une attaque de représailles contre l’Iran, attribuée à Israël. Si l’on craignait le pire, la réponse fut finalement limitée.
Plusieurs explosions ont été entendues à 4 heures du matin dans le centre de l’Iran, dans la nuit du jeudi 18 au vendredi 19 avril, provoquant la panique parmi les habitants. La défense anti-aérienne iranienne a été activée. A l’aube, la télévision officielle iranienne dépêche des journalistes pour montrer que tout est calme dans cette région. Cependant, selon un habitant, une panique s’est produite.
Des habitants effrayés
Les autorités militaires relativisent l’attaque du territoire. « Le bruit relativement fort entendu ce matin à Ispahan n’était pas une explosion mais des tirs de roquettes et de systèmes de défense aérienne », a déclaré Sivash Mihandoost, commandant provincial de la défense aérienne. La population civile, en revanche, ne minimise pas sa peur. La zone ciblée en Iran est proche d’une base militaire et de la centrale nucléaire de Natanz.
Ces frappes étaient-elles des représailles après les attaques sans précédent de drones et de missiles contre l’État juif le 13 avril ? L’État hébreu ne confirme pas mais ne nie pas être à l’origine de cette opération. Dans ce contexte d’escalade, de nombreux dirigeants ont appelé à la retenue.
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La France, ainsi que la communauté internationale, ont lancé vendredi 19 avril des appels à la retenue après une attaque de représailles contre l’Iran, attribuée à Israël. Si l’on craignait le pire, la réponse fut finalement limitée.
Plusieurs explosions ont été entendues à 4 heures du matin dans le centre de l’Iran, dans la nuit du jeudi 18 au vendredi 19 avril, provoquant la panique parmi les habitants. La défense anti-aérienne iranienne a été activée. A l’aube, la télévision officielle iranienne dépêche des journalistes pour montrer que tout est calme dans cette région. Cependant, selon un habitant, une panique s’est produite.
Des habitants effrayés
Les autorités militaires relativisent l’attaque du territoire. « Le bruit relativement fort entendu ce matin à Ispahan n’était pas une explosion mais des tirs de roquettes et de systèmes de défense aérienne », a déclaré Sivash Mihandoost, commandant provincial de la défense aérienne. La population civile, en revanche, ne minimise pas sa peur. La zone ciblée en Iran est proche d’une base militaire et de la centrale nucléaire de Natanz.
Ces frappes étaient-elles des représailles après les attaques sans précédent de drones et de missiles contre l’État juif le 13 avril ? L’État hébreu ne confirme pas mais ne nie pas être à l’origine de cette opération. Dans ce contexte d’escalade, de nombreux dirigeants ont appelé à la retenue.