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Durée de la vidéo : 1 min
Après la douceur inhabituelle du mois de février, une vague de froid inquiète les arboriculteurs. Les aléas climatiques peuvent détruire des récoltes entières.
Depuis plusieurs jours dans la région chablisienne, Jean-Paul Durup a les yeux rivés sur la météo. Il craint un épisode de gel. Pour s’en prémunir, il a mis en œuvre plusieurs techniques, dont l’arrosage des vignes. « Lorsque l’eau change d’état et se transforme en glace, des calories sont libérées et un cocon se forme autour des bourgeons ou des pousses, et la vigne entière est protégée »il explique.
Tour à vent et bougies
Parmi les autres techniques pour lutter contre le froid, la tour éolienne. Grâce à un système de circulation d’air, le sol peut gagner jusqu’à 2°C. A Vitrolles (Bouches-du-Rhône), Nicolas Richier a passé la nuit dans ses vergers. Le fruit étant plus fragile, il opte pour une méthode ancestrale : la bougie. “On l’allume dès que la température descend en dessous de zéro”, précise-t-il. Outre le gel, les arboriculteurs craignent un risque de grêle jusqu’à fin avril.
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Après la douceur inhabituelle du mois de février, une vague de froid inquiète les arboriculteurs. Les aléas climatiques peuvent détruire des récoltes entières.
Depuis plusieurs jours dans la région chablisienne, Jean-Paul Durup a les yeux rivés sur la météo. Il craint un épisode de gel. Pour s’en prémunir, il a mis en œuvre plusieurs techniques, dont l’arrosage des vignes. « Lorsque l’eau change d’état et se transforme en glace, des calories sont libérées et un cocon se forme autour des bourgeons ou des pousses, et la vigne entière est protégée »il explique.
Tour à vent et bougies
Parmi les autres techniques pour lutter contre le froid, la tour éolienne. Grâce à un système de circulation d’air, le sol peut gagner jusqu’à 2°C. A Vitrolles (Bouches-du-Rhône), Nicolas Richier a passé la nuit dans ses vergers. Le fruit étant plus fragile, il opte pour une méthode ancestrale : la bougie. “On l’allume dès que la température descend en dessous de zéro”, précise-t-il. Outre le gel, les arboriculteurs craignent un risque de grêle jusqu’à fin avril.