L’hebdomadaire de Hambourg Le Temps fait la part belle à l’infographie. Il s’agit d’un extrait de celui publié dans son édition du 14 mars 2024. Il donne un aperçu de la manière dont les poulets sont élevés en Allemagne, selon qu’ils sont destinés à la production d’œufs ou de viande.
Comme le souligne le journal allemand, les races mixtes (chair et œufs) sont aujourd’hui très rares. Les poules dont nous mangeons la viande et celles qui donnent des œufs appartiennent en réalité à deux familles bien distinctes. Ils passent leur courte vie dans deux secteurs spécialisés et compartimentés, qui regroupent à eux deux plusieurs millions d’oiseaux.
Avec 15,6 kilos de viande de poulet consommés en moyenne par an et par habitant, l’Allemagne est derrière la France. En 2023, chaque Français a dévoré 23 kilos de poulet, selon l’Association nationale interprofessionnelle des volailles de chair (Anvol). Sur la première marche du podium européen, on retrouve le Portugal, où 30 kilos de poulet sont consommés par an et par habitant.
Concernant les œufs, les Français en ont consommé 220 chacun en 2022 contre 236 pour les Allemands. Dans leur pays, 61 % des œufs proviennent d’élevages non bio, 21 % d’élevages en liberté. « Il y a vingt ans, la majorité des pondeuses étaient encore élevées en cage », souviens-toi Le Temps, qui précise qu’en 2023 les fermes allemandes comptaient 50,25 millions de poules pondeuses, produisant chacune en moyenne 300 œufs par an.
Ce rendement a été multiplié par deux par rapport à 1950, et par 15 si l’on le compare à celui du coq bankiva, lointain ancêtre de nos pondeuses modernes, qui ne produisait qu’une vingtaine d’œufs par an.
L’hebdomadaire de Hambourg Le Temps fait la part belle à l’infographie. Il s’agit d’un extrait de celui publié dans son édition du 14 mars 2024. Il donne un aperçu de la manière dont les poulets sont élevés en Allemagne, selon qu’ils sont destinés à la production d’œufs ou de viande.
Comme le souligne le journal allemand, les races mixtes (chair et œufs) sont aujourd’hui très rares. Les poules dont nous mangeons la viande et celles qui donnent des œufs appartiennent en réalité à deux familles bien distinctes. Ils passent leur courte vie dans deux secteurs spécialisés et compartimentés, qui regroupent à eux deux plusieurs millions d’oiseaux.
Avec 15,6 kilos de viande de poulet consommés en moyenne par an et par habitant, l’Allemagne est derrière la France. En 2023, chaque Français a dévoré 23 kilos de poulet, selon l’Association nationale interprofessionnelle des volailles de chair (Anvol). Sur la première marche du podium européen, on retrouve le Portugal, où 30 kilos de poulet sont consommés par an et par habitant.
Concernant les œufs, les Français en ont consommé 220 chacun en 2022 contre 236 pour les Allemands. Dans leur pays, 61 % des œufs proviennent d’élevages non bio, 21 % d’élevages en liberté. « Il y a vingt ans, la majorité des pondeuses étaient encore élevées en cage », souviens-toi Le Temps, qui précise qu’en 2023 les fermes allemandes comptaient 50,25 millions de poules pondeuses, produisant chacune en moyenne 300 œufs par an.
Ce rendement a été multiplié par deux par rapport à 1950, et par 15 si l’on le compare à celui du coq bankiva, lointain ancêtre de nos pondeuses modernes, qui ne produisait qu’une vingtaine d’œufs par an.