Au fil des pages de son livre « Couronne et préjugés », Sylvie Tellier revient sur une injustice vécue durant son règne, conséquence du favoritisme entretenu à son égard par Geneviève de Fontenay.
Son livre « Couronne et préjugés » est sorti en librairie le 29 mai, aux éditions Fayard. A travers ce récit autobiographique, Sylvie Tellier revient sur plusieurs événements bouleversants vécus durant son règne de Miss France.
Il y a plus de vingt ans, le 8 décembre 2001, une jeune Nantaise de 23 ans était élue Miss France. Une année de sacre l’attend, avec les bénéfices et les responsabilités assignés à ce titre. Pourtant, Sylvie Tellier ne s’attendait pas à affronter une concurrente aussi rapidement. Celle qui venait de lui remettre sa couronne, Élodie Gossuin, a été élue Miss Europe une vingtaine de jours plus tard.
Face à ce double sacre français, Geneviève de Fontenay (à l’époque directrice de la société Miss France) avait largement fait savoir qu’une compétition existait entre les deux jeunes reines de beauté.
Dans son livre, Sylvie Tellier revient sur ce climat tendu : « Durant toute l’année de mon sacre, Geneviève a privilégié les événements avec Élodie. (…) Elle lui offre même la magnifique robe Cymbeline que j’ai gagnée lors de mon élection… Et que je ne récupérerai que quelques mois plus tard et pas dans le meilleur état. »
Traitement préférentiel injuste
Chaque année, lors du couronnement de la nouvelle Miss France, elle hérite d’un logement de fonction. Situé dans le 17ème arrondissement de Paris, à deux pas de l’Arc de Triomphe, c’est ce sublime deux pièces que Sylvie Tellier aurait dû, à juste titre, occuper.
Ce traitement de faveur, Sylvie Tellier s’en souvient à merveille : « C’est Élodie qui continuera à l’occuper durant l’année qui suivra mon élection : c’est à moi de me débrouiller, de trouver un logement chez mon oncle et ma tante en banlieue parisienne et de rejoindre chaque jour le QG de Geneviève en train… C’est-à-dire son domicile, attenant au logement du personnel. »
Au fil des pages de son livre « Couronne et préjugés », Sylvie Tellier revient sur une injustice vécue durant son règne, conséquence du favoritisme entretenu à son égard par Geneviève de Fontenay.
Son livre « Couronne et préjugés » est sorti en librairie le 29 mai, aux éditions Fayard. A travers ce récit autobiographique, Sylvie Tellier revient sur plusieurs événements bouleversants vécus durant son règne de Miss France.
Il y a plus de vingt ans, le 8 décembre 2001, une jeune Nantaise de 23 ans était élue Miss France. Une année de sacre l’attend, avec les bénéfices et les responsabilités assignés à ce titre. Pourtant, Sylvie Tellier ne s’attendait pas à affronter une concurrente aussi rapidement. Celle qui venait de lui remettre sa couronne, Élodie Gossuin, a été élue Miss Europe une vingtaine de jours plus tard.
Face à ce double sacre français, Geneviève de Fontenay (à l’époque directrice de la société Miss France) avait largement fait savoir qu’une compétition existait entre les deux jeunes reines de beauté.
Dans son livre, Sylvie Tellier revient sur ce climat tendu : « Durant toute l’année de mon sacre, Geneviève a privilégié les événements avec Élodie. (…) Elle lui offre même la magnifique robe Cymbeline que j’ai gagnée lors de mon élection… Et que je ne récupérerai que quelques mois plus tard et pas dans le meilleur état. »
Traitement préférentiel injuste
Chaque année, lors du couronnement de la nouvelle Miss France, elle hérite d’un logement de fonction. Situé dans le 17ème arrondissement de Paris, à deux pas de l’Arc de Triomphe, c’est ce sublime deux pièces que Sylvie Tellier aurait dû, à juste titre, occuper.
Ce traitement de faveur, Sylvie Tellier s’en souvient à merveille : « C’est Élodie qui continuera à l’occuper durant l’année qui suivra mon élection : c’est à moi de me débrouiller, de trouver un logement chez mon oncle et ma tante en banlieue parisienne et de rejoindre chaque jour le QG de Geneviève en train… C’est-à-dire son domicile, attenant au logement du personnel. »