Le maire de Blanquefort, près de Bordeaux en Gironde, a eu la désagréable surprise de découvrir, ce dimanche 2 juin, que 120 caravanes appartenant à la communauté des gens du voyage s’étaient installées illégalement au stade de la ville.
Un ras-le-bol des élus. Ce dimanche 2 juin, 120 caravanes ont forcé l’entrée du stade, la commune de Blanquefort en Gironde, pour s’y installer illégalement. Cette intrusion a eu lieu alors que la ville accueillait son festival culturel, Échappée Belle.
L’été dernier, la commune, au nord de Bordeaux, a été confrontée à la même situation, au grand désarroi de sa maire socialiste, Véronique Ferreira, qui a fait état de la situation sur Facebook.
“Hyper en colère ou très fatiguée, je ne sais plus”, a-t-elle écrit ce dimanche. Dépassé par les événements, l’élu explique : « Deux heures et demie d’échanges, 20 coups de téléphone, un espace libre trouvé, à Lesparre…. Et rien ! Incapacité des pouvoirs publics à empêcher l’installation ! Une fois de plus, le maire se retrouve seul.
Face à la répétition de ces installations illégales de caravanes à Blanquefort mais aussi dans d’autres communes, l’élue socialiste a indiqué vouloir “une vraie procédure”, autre que celle des référés, qui prend beaucoup de temps.
“Alors oui, je vais suivre la procédure, oui, je le sais et oui, j’en ai marre !”, a conclu une Véronique Ferreira résignée, qui a fait savoir que d’autres installations illégales de caravanes avaient lieu en ce moment dans la région. .
Le maire de Blanquefort, près de Bordeaux en Gironde, a eu la désagréable surprise de découvrir, ce dimanche 2 juin, que 120 caravanes appartenant à la communauté des gens du voyage s’étaient installées illégalement au stade de la ville.
Un ras-le-bol des élus. Ce dimanche 2 juin, 120 caravanes ont forcé l’entrée du stade, la commune de Blanquefort en Gironde, pour s’y installer illégalement. Cette intrusion a eu lieu alors que la ville accueillait son festival culturel, Échappée Belle.
L’été dernier, la commune, au nord de Bordeaux, a été confrontée à la même situation, au grand désarroi de sa maire socialiste, Véronique Ferreira, qui a fait état de la situation sur Facebook.
“Hyper en colère ou très fatiguée, je ne sais plus”, a-t-elle écrit ce dimanche. Dépassé par les événements, l’élu explique : « Deux heures et demie d’échanges, 20 coups de téléphone, un espace libre trouvé, à Lesparre…. Et rien ! Incapacité des pouvoirs publics à empêcher l’installation ! Une fois de plus, le maire se retrouve seul.
Face à la répétition de ces installations illégales de caravanes à Blanquefort mais aussi dans d’autres communes, l’élue socialiste a indiqué vouloir “une vraie procédure”, autre que celle des référés, qui prend beaucoup de temps.
“Alors oui, je vais suivre la procédure, oui, je le sais et oui, j’en ai marre !”, a conclu une Véronique Ferreira résignée, qui a fait savoir que d’autres installations illégales de caravanes avaient lieu en ce moment dans la région. .