Trois syndicats sur quatre ont signé l’accord sur les primes pour les Jeux olympiques et paralympiques à la SNCF. Mardi 3 juin, SUD-Rail a paraphé le texte aux côtés de l’UNSA et de la CFDT, après un vote favorable de 76% de ses adhérents. Le texte prévoit une prime de 95 euros brut par jour travaillé lors des épreuves, plafonnée à 1.900 euros. 50 000 personnes sont concernées.
Par cet accord majoritaire, les syndicats s’engagent en effet à ne pas déclencher de grève au niveau national pendant les JO. La CGT s’est fait remarquer en refusant de signer. Elle annonce le lancement deune « approche large des assemblées générales sur les chantiers ferroviaires, sur des sujets du quotidien : extension du dispositif de fin de carrière à l’ensemble de la branche ferroviaire, finalisation des recrutements prévus au budget – 8 400 –, ouverture des négociations sur la formation professionnelle et salariale » ». Le syndicat veut diriger la « bataille contre la concurrence ». Une stratégie qui vise, entre autres, à reconquérir les cheminots qui ont préféré SUD-Rail lors des dernières élections.
Trois syndicats sur quatre ont signé l’accord sur les primes pour les Jeux olympiques et paralympiques à la SNCF. Mardi 3 juin, SUD-Rail a paraphé le texte aux côtés de l’UNSA et de la CFDT, après un vote favorable de 76% de ses adhérents. Le texte prévoit une prime de 95 euros brut par jour travaillé lors des épreuves, plafonnée à 1.900 euros. 50 000 personnes sont concernées.
Par cet accord majoritaire, les syndicats s’engagent en effet à ne pas déclencher de grève au niveau national pendant les JO. La CGT s’est fait remarquer en refusant de signer. Elle annonce le lancement deune « approche large des assemblées générales sur les chantiers ferroviaires, sur des sujets du quotidien : extension du dispositif de fin de carrière à l’ensemble de la branche ferroviaire, finalisation des recrutements prévus au budget – 8 400 –, ouverture des négociations sur la formation professionnelle et salariale » ». Le syndicat veut diriger la « bataille contre la concurrence ». Une stratégie qui vise, entre autres, à reconquérir les cheminots qui ont préféré SUD-Rail lors des dernières élections.