« Narendra Modi est sur le point de prendre la tête du gouvernement pour la troisième fois consécutive, mais il a subi un revers » à cause de « une force inattendue » partis d’opposition, analyse Le temps de l’Inde au lendemain de l’annonce des résultats des élections générales indiennes. Même si le Premier ministre nationaliste hindou a qualifié sa victoire de« exploit historique dans l’histoire de l’Inde », il “on dirait qu’il pourrait être battu” pour la première fois, croit L’empreinte.
Le parti Bharatiya Janata (BJP) de Narendra Modi a remporté 240 sièges à la chambre basse du Parlement, la Lok Sabha. Bien en dessous de la barre des 272 nécessaires pour avoir une majorité et gouverner sans alliance. Une régression importante par rapport au précédent scrutin de 2019, où le BJP avait obtenu 352 députés.
Cette perte de la majorité « rend le BJP dépendant de ses alliés », rappelle lui Temps de l’Inde. Ce n’est donc que grâce à la National Democratic Alliance (NDA), coalition de partis dirigée par le BJP, qui a remporté au total 293 sièges, que le Premier ministre peut envisager un troisième mandat.
Coalition incertaine
Il est temps de « faiseurs de rois », analyse L’Hindou, qui ajoute ça« Avec 28 sièges à eux deux, le Telugu Desam Party (TDP) de Chandrababu Naidu et Janata Dal (United) de Nitish Kumar détiennent entre leurs mains la balance de l’Alliance nationale démocratique (NDA).». Le seul
« Narendra Modi est sur le point de prendre la tête du gouvernement pour la troisième fois consécutive, mais il a subi un revers » à cause de « une force inattendue » partis d’opposition, analyse Le temps de l’Inde au lendemain de l’annonce des résultats des élections générales indiennes. Même si le Premier ministre nationaliste hindou a qualifié sa victoire de« exploit historique dans l’histoire de l’Inde », il “on dirait qu’il pourrait être battu” pour la première fois, croit L’empreinte.
Le parti Bharatiya Janata (BJP) de Narendra Modi a remporté 240 sièges à la chambre basse du Parlement, la Lok Sabha. Bien en dessous de la barre des 272 nécessaires pour avoir une majorité et gouverner sans alliance. Une régression importante par rapport au précédent scrutin de 2019, où le BJP avait obtenu 352 députés.
Cette perte de la majorité « rend le BJP dépendant de ses alliés », rappelle lui Temps de l’Inde. Ce n’est donc que grâce à la National Democratic Alliance (NDA), coalition de partis dirigée par le BJP, qui a remporté au total 293 sièges, que le Premier ministre peut envisager un troisième mandat.
Coalition incertaine
Il est temps de « faiseurs de rois », analyse L’Hindou, qui ajoute ça« Avec 28 sièges à eux deux, le Telugu Desam Party (TDP) de Chandrababu Naidu et Janata Dal (United) de Nitish Kumar détiennent entre leurs mains la balance de l’Alliance nationale démocratique (NDA).». Le seul