Outre-Manche, une petite mélodie persistante accompagne le parti travailliste dans sa quête de pouvoir : le La Marseillaise. Largement en tête dans les sondages, avant les élections législatives du 4 juillet, la principale force d’opposition britannique compte parmi ses thèmes de campagne l’amélioration des conditions de travail au Royaume-Uni.
En cas de victoire, le parti travailliste se dit prêt à renforcer les droits des salariés. Une promesse de longue date de leur chef, Keir Starmer. Exit par exemple les tant décriés « contrats zéro heure », qui ne définissent aucun volume horaire minimum. Le parti de centre-gauche souhaite, dans le même esprit, faciliter les recours contre les licenciements abusifs, augmenter le salaire minimum pour les jeunes et assouplir les restrictions sur l’activité syndicale. « Ce programme est censé parler aux électeurs touchés par la hausse du coût de la vie »analyse la vie quotidienne Les temps.
Démêler les efforts post-Brexit
Lèse-majesté : “Ces mesures ont décidément des accents français”, s’agace le tabloïd conservateur Le soleil. Comprendre : trop favorable aux salariés et excessivement contraignant pour les entreprises, avec le risque de restreindre l’activité économique. Un axe de critique lancé par le m
Outre-Manche, une petite mélodie persistante accompagne le parti travailliste dans sa quête de pouvoir : le La Marseillaise. Largement en tête dans les sondages, avant les élections législatives du 4 juillet, la principale force d’opposition britannique compte parmi ses thèmes de campagne l’amélioration des conditions de travail au Royaume-Uni.
En cas de victoire, le parti travailliste se dit prêt à renforcer les droits des salariés. Une promesse de longue date de leur chef, Keir Starmer. Exit par exemple les tant décriés « contrats zéro heure », qui ne définissent aucun volume horaire minimum. Le parti de centre-gauche souhaite, dans le même esprit, faciliter les recours contre les licenciements abusifs, augmenter le salaire minimum pour les jeunes et assouplir les restrictions sur l’activité syndicale. « Ce programme est censé parler aux électeurs touchés par la hausse du coût de la vie »analyse la vie quotidienne Les temps.
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