Publié
Durée de la vidéo : 3 minutes
De nombreuses régions d’Espagne sont touchées par le surtourisme. Aux Baléares, un petit village impose désormais des restrictions aux visiteurs.
Un décor de carte postale. Avec ses eaux turquoise et ses petites maisons blanches, Binibeca Vell (Îles Baléares) est surnommée la Mykonos espagnole pour sa ressemblance avec l’île grecque. Mais aujourd’hui, ce petit village de l’archipel est victime de son succès : 800 000 visiteurs par an. Le surtourisme est devenu insupportable pour les 200 habitants. Pour réduire les nuisances liées à cet afflux, des restrictions ont été mises en place pour cet été.
L’accès à certaines petites rues est désormais interdit entre 11 heures et 20 heures. Cohabitation difficile, à l’image d’un groupe de touristes posant devant des maisons ou dans les escaliers. C’est surtout ce comportement indiscipliné qui est pointé du doigt. Restrictions plutôt bien perçues par les touristes. De leur côté, les traders sont plus mesurés.
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De nombreuses régions d’Espagne sont touchées par le surtourisme. Aux Baléares, un petit village impose désormais des restrictions aux visiteurs.
Un décor de carte postale. Avec ses eaux turquoise et ses petites maisons blanches, Binibeca Vell (Îles Baléares) est surnommée la Mykonos espagnole pour sa ressemblance avec l’île grecque. Mais aujourd’hui, ce petit village de l’archipel est victime de son succès : 800 000 visiteurs par an. Le surtourisme est devenu insupportable pour les 200 habitants. Pour réduire les nuisances liées à cet afflux, des restrictions ont été mises en place pour cet été.
L’accès à certaines petites rues est désormais interdit entre 11 heures et 20 heures. Cohabitation difficile, à l’image d’un groupe de touristes posant devant des maisons ou dans les escaliers. C’est surtout ce comportement indiscipliné qui est pointé du doigt. Restrictions plutôt bien perçues par les touristes. De leur côté, les traders sont plus mesurés.