“Cette année voit l’émergence d’un nouveau type d’arnaque : l’arnaque au trop-payé”, constate la plateforme spécialisée France Verif.
A quelques semaines des vacances d’été, de nombreuses personnes n’ont pas encore trouvé la destination de leurs rêves et sont toujours en quête. Mais il vaut mieux garder les yeux ouverts, car les escrocs ne prennent pas de vacances. Par rapport à la même période de l’année dernière, les arnaques liées aux réservations de vacances explosent, en hausse de 47%, selon le service France Verif, spécialisé dans la détection des arnaques sur Internet.
« Alors que les cyberattaques se multiplient en France avec des coûts estimés pour l’année 2024 à près de 124 milliards d’euros, le printemps et le début de l’été sont le théâtre, comme chaque année, d’une multiplication des attaques liées aux réservations de vacances »note Laurent Amar, président et co-fondateur de France Verif.
Viennent en tête de ces arnaques celles liées aux réservations d’hébergement (36%), selon l’inventaire réalisé par l’entreprise. Et ils affectent aussi bien les clients que les hôtes. Côté clients, ils sont piégés par de faux sites ou des publicités frauduleuses. Du côté de l’hôte, « cette année voit l’émergence d’un nouveau type d’arnaque : l’arnaque au trop-payé », indique Laurent Amar. Dans cette arnaque, un faux voyageur réserve un logement auprès d’un particulier via une plateforme de type Airbnb, sauf qu’il demande au loueur de payer par virement en dehors du système de la plateforme.
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Vol d’informations personnelles et phishing
Le faux client effectue alors un paiement d’un montant supérieur à celui convenu pour la réservation. L’hôte, constatant l’erreur, rembourse alors la différence au client. « Et c’est là que commence l’arnaque, car en réalité, le paiement initial du voyageur était frauduleux. Avant que le loueur ne s’en rende compte, le faux locataire annule son paiement initial et l’hôte se retrouve avec, d’une part, une réservation annulée et, d’autre part, un remboursement à l’hôte. ‘escroc’explique France Verif.
Derrière ces arnaques à la réservation d’hébergement, on retrouve également parmi les arnaques liées aux vacances les plus répandues le vol d’informations personnelles (par exemple bancaires) sur les plateformes de réservation non sécurisées (35%), ou encore le phishing (ou phishing) visant à voler les identifiants des utilisateurs. et mots de passe « d’accéder aux plateformes de réservation à leur place et pour leur compte » (29%).
“Cette année voit l’émergence d’un nouveau type d’arnaque : l’arnaque au trop-payé”, constate la plateforme spécialisée France Verif.
A quelques semaines des vacances d’été, de nombreuses personnes n’ont pas encore trouvé la destination de leurs rêves et sont toujours en quête. Mais il vaut mieux garder les yeux ouverts, car les escrocs ne prennent pas de vacances. Par rapport à la même période de l’année dernière, les arnaques liées aux réservations de vacances explosent, en hausse de 47%, selon le service France Verif, spécialisé dans la détection des arnaques sur Internet.
« Alors que les cyberattaques se multiplient en France avec des coûts estimés pour l’année 2024 à près de 124 milliards d’euros, le printemps et le début de l’été sont le théâtre, comme chaque année, d’une multiplication des attaques liées aux réservations de vacances »note Laurent Amar, président et co-fondateur de France Verif.
Viennent en tête de ces arnaques celles liées aux réservations d’hébergement (36%), selon l’inventaire réalisé par l’entreprise. Et ils affectent aussi bien les clients que les hôtes. Côté clients, ils sont piégés par de faux sites ou des publicités frauduleuses. Du côté de l’hôte, « cette année voit l’émergence d’un nouveau type d’arnaque : l’arnaque au trop-payé », indique Laurent Amar. Dans cette arnaque, un faux voyageur réserve un logement auprès d’un particulier via une plateforme de type Airbnb, sauf qu’il demande au loueur de payer par virement en dehors du système de la plateforme.
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Vol d’informations personnelles et phishing
Le faux client effectue alors un paiement d’un montant supérieur à celui convenu pour la réservation. L’hôte, constatant l’erreur, rembourse alors la différence au client. « Et c’est là que commence l’arnaque, car en réalité, le paiement initial du voyageur était frauduleux. Avant que le loueur ne s’en rende compte, le faux locataire annule son paiement initial et l’hôte se retrouve avec, d’une part, une réservation annulée et, d’autre part, un remboursement à l’hôte. ‘escroc’explique France Verif.
Derrière ces arnaques à la réservation d’hébergement, on retrouve également parmi les arnaques liées aux vacances les plus répandues le vol d’informations personnelles (par exemple bancaires) sur les plateformes de réservation non sécurisées (35%), ou encore le phishing (ou phishing) visant à voler les identifiants des utilisateurs. et mots de passe « d’accéder aux plateformes de réservation à leur place et pour leur compte » (29%).