L’international anglais a inscrit le but de la victoire (3-2) dans le temps additionnel après un bon service de Lucas Vazquez, auteur d’un match XXL.
HAUTS
Bellingham, le sauveur
Son match n’était pas parfait, mais il était là au bon moment. Comme c’est souvent le cas cette saison. Il est le facteur X du Real Madrid, et dans ce que l’on peut appeler le “Belling’Time”, il a marqué le but nécessaire pour éteindre le suspense de la Liga. Après avoir reçu le centre de Vazquez, il n’a laissé aucune chance à Ter Stegen avec son tir du gauche. Comme s’il savait que dans ces moments-là il fallait frapper plus fort. Ce dimanche soir, il est devenu le troisième joueur seulement à marquer dans un Classico, à domicile comme à l’extérieur, au cours d’une même saison. Il a marqué un doublé à Barcelone.
Un Vazquez XXL
Il n’a pas remporté le titre de joueur du match et on n’est pas loin du scandale. Il a été le meilleur joueur sur le terrain ce dimanche soir. Mais surtout décisif sur l’ensemble des buts de son équipe. L’arrière a obtenu le penalty transformé par Vinicius (16e) en rattrapant Cancelo, a reçu le centre de ce même Vinicius au second poteau (76e) et a lui-même offert un gâteau à Bellingham (92e) pour le but de la victoire. Celui qui a remplacé Carvajal, touché contre Manchester City, est le symbole d’un Real qui change d’année en année, mais qui garde son âme. Celui-ci sort également dans les grands moments pour rester au top.
Un duel Camavinga/Yamal de haut niveau
Ils nous ont tenus en haleine tout au long de la première mi-temps. L’ailier droit et l’arrière gauche d’un jour étaient les autres grands acteurs de cette rencontre. C’est d’ailleurs Yamal qui a remporté le trophée de l’homme du match. Le jeune Espagnol a été exceptionnel et a fait frémir le Real à plusieurs reprises. Sur cette déviation qui a donné du travail aux arbitres (30e), mais surtout sur ce centre qui a permis à Firmin de donner l’avantage à son équipe (69e). Camavinga a souffert face à Yamal, mais s’est montré offensivement (20e) et a tenu le rythme jusqu’à son remplacement (77e).
Lire aussiLiga : Jude Bellingham rapproche le Real Madrid du titre
flops
Lewandowski ne marque plus
Il est sorti à la surprise générale, peu après l’heure de jeu. Même s’il s’est mis en évidence à deux reprises (25e, 61e), il n’était pas d’humeur puisque son jeune coéquipier était sur l’aile droite. Le Polonais n’a plus marqué depuis le 17 mars et semble en mauvaise posture. Difficile pour le Barça de s’en passer, puisque son remplaçant comme attaquant, Vitor Roque, joue très peu.
Lunin n’a pas rassuré
Faire plus d’un mètre vingt et ne pas sortir dans les virages n’est pas très rassurant pour votre défense. Peut-être que la première erreur de jugement, qui a conduit Christiensen à ouvrir le score, ne l’a pas aidé à y entrer. Il n’est pas non plus exempt de toutes critiques sur le deuxième but, mais on peut lui porter malheur après le centre fuyant de Yamal qu’il repousse sur Firmin Lopez (68e). Ses deux interventions de poing ont malgré tout rassuré les siens en fin de match après le but de Bellingham.
L’international anglais a inscrit le but de la victoire (3-2) dans le temps additionnel après un bon service de Lucas Vazquez, auteur d’un match XXL.
HAUTS
Bellingham, le sauveur
Son match n’était pas parfait, mais il était là au bon moment. Comme c’est souvent le cas cette saison. Il est le facteur X du Real Madrid, et dans ce que l’on peut appeler le “Belling’Time”, il a marqué le but nécessaire pour éteindre le suspense de la Liga. Après avoir reçu le centre de Vazquez, il n’a laissé aucune chance à Ter Stegen avec son tir du gauche. Comme s’il savait que dans ces moments-là il fallait frapper plus fort. Ce dimanche soir, il est devenu le troisième joueur seulement à marquer dans un Classico, à domicile comme à l’extérieur, au cours d’une même saison. Il a marqué un doublé à Barcelone.
Un Vazquez XXL
Il n’a pas remporté le titre de joueur du match et on n’est pas loin du scandale. Il a été le meilleur joueur sur le terrain ce dimanche soir. Mais surtout décisif sur l’ensemble des buts de son équipe. L’arrière a obtenu le penalty transformé par Vinicius (16e) en rattrapant Cancelo, a reçu le centre de ce même Vinicius au second poteau (76e) et a lui-même offert un gâteau à Bellingham (92e) pour le but de la victoire. Celui qui a remplacé Carvajal, touché contre Manchester City, est le symbole d’un Real qui change d’année en année, mais qui garde son âme. Celui-ci sort également dans les grands moments pour rester au top.
Un duel Camavinga/Yamal de haut niveau
Ils nous ont tenus en haleine tout au long de la première mi-temps. L’ailier droit et l’arrière gauche d’un jour étaient les autres grands acteurs de cette rencontre. C’est d’ailleurs Yamal qui a remporté le trophée de l’homme du match. Le jeune Espagnol a été exceptionnel et a fait frémir le Real à plusieurs reprises. Sur cette déviation qui a donné du travail aux arbitres (30e), mais surtout sur ce centre qui a permis à Firmin de donner l’avantage à son équipe (69e). Camavinga a souffert face à Yamal, mais s’est montré offensivement (20e) et a tenu le rythme jusqu’à son remplacement (77e).
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flops
Lewandowski ne marque plus
Il est sorti à la surprise générale, peu après l’heure de jeu. Même s’il s’est mis en évidence à deux reprises (25e, 61e), il n’était pas d’humeur puisque son jeune coéquipier était sur l’aile droite. Le Polonais n’a plus marqué depuis le 17 mars et semble en mauvaise posture. Difficile pour le Barça de s’en passer, puisque son remplaçant comme attaquant, Vitor Roque, joue très peu.
Lunin n’a pas rassuré
Faire plus d’un mètre vingt et ne pas sortir dans les virages n’est pas très rassurant pour votre défense. Peut-être que la première erreur de jugement, qui a conduit Christiensen à ouvrir le score, ne l’a pas aidé à y entrer. Il n’est pas non plus exempt de toutes critiques sur le deuxième but, mais on peut lui porter malheur après le centre fuyant de Yamal qu’il repousse sur Firmin Lopez (68e). Ses deux interventions de poing ont malgré tout rassuré les siens en fin de match après le but de Bellingham.