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Durée de la vidéo : 2 minutes
Le bon plan du 24 avril concerne les fruits à récolter soi-même. Alors que la saison des fraises démarre, il y avait beaucoup de monde le week-end du 20 et 21 avril pour la première collecte, près de Lavernose-Lacasse, au sud de Toulouse.
A Lavernose-Lacasse (Haute-Garonne), les familles viennent cueillir elles-mêmes leurs fraises. La plupart des clients rencontrés par les journalistes de 13 heures sont des habitués. « On a beaucoup de monde qui vient des environs », reconnaît Émilie Gély, de Cueillette de Lavernose. Cependant, elle affirme que “les gens nous disent qu’ils viennent de voyager une heure”. Le bouche à oreille fait des merveilles.
5,80 euros le kilo
La cueillette est ouverte depuis quelques jours. Les clients se sont précipités samedi 20 et dimanche 21 avril pour acheter les premières variétés disponibles. Certains sont arrivés tôt et ont fait des provisions. Les fraises coûtent 5,80 euros le kilo, soit 30 % de moins que sur un marché. Les clients sont satisfaits et l’agriculteur vend une production fragile et éphémère.
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Le bon plan du 24 avril concerne les fruits à récolter soi-même. Alors que la saison des fraises démarre, il y avait beaucoup de monde le week-end du 20 et 21 avril pour la première collecte, près de Lavernose-Lacasse, au sud de Toulouse.
A Lavernose-Lacasse (Haute-Garonne), les familles viennent cueillir elles-mêmes leurs fraises. La plupart des clients rencontrés par les journalistes de 13 heures sont des habitués. « On a beaucoup de monde qui vient des environs », reconnaît Émilie Gély, de Cueillette de Lavernose. Cependant, elle affirme que “les gens nous disent qu’ils viennent de voyager une heure”. Le bouche à oreille fait des merveilles.
5,80 euros le kilo
La cueillette est ouverte depuis quelques jours. Les clients se sont précipités samedi 20 et dimanche 21 avril pour acheter les premières variétés disponibles. Certains sont arrivés tôt et ont fait des provisions. Les fraises coûtent 5,80 euros le kilo, soit 30 % de moins que sur un marché. Les clients sont satisfaits et l’agriculteur vend une production fragile et éphémère.