Emmanuel Macron a décidé dimanche de dissoudre l’Assemblée nationale suite à la victoire du Rassemblement national aux élections européennes.
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Temps de lecture : 1 min
L’annonce, dimanche 9 juin, de la dissolution de l’Assemblée nationale avec de nouveaux votes les 30 juin et 7 juillet, a eu “un effet d’étonnement dans l’opinion publique“, décrit le politologue Dorian Dreuil sur franceinfo. Un choc qui peut accroître la participation des électeurs au vote selon lui.
Ce sera “une campagne très rapide, très flash, et donc une campagne de très haute intensité dans les semaines à venir. Elle est susceptible de remobiliser les électorats et il est probable, pour les mouvements politiques, d’avoir une campagne très très intense pour susciter un maximum de participation électorale. “explique l’expert associé à la Fondation Jean-Jaurès.
En revanche, il va falloir activer toutes les couches de la société pour que les 48% de Français qui n’ont pas déposé de bulletin dans l’urne dimanche dernier aillent voter. “Ces élections doivent être l’affaire de tous, qu’il s’agisse de toutes les organisations qui interagissent dans la vie de la ville, ou des entreprises, des associations, du monde syndical ou autres.”
“C’est la responsabilité collective de dire aux gens qu’il sera important de voyager, de voter”, assure Dorian Dreuil. “Quand on ne peut pas voter parce qu’on avait déjà prévu de ne pas pouvoir y être”, il va falloir s’adapter, « trouver des solutions alternatives en amont, que ce soit par procuration notamment pour pouvoir participer à cette élection »insiste l’enseignant de l’université Paris-Nanterre.
Emmanuel Macron a décidé dimanche de dissoudre l’Assemblée nationale suite à la victoire du Rassemblement national aux élections européennes.
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L’annonce, dimanche 9 juin, de la dissolution de l’Assemblée nationale avec de nouveaux votes les 30 juin et 7 juillet, a eu “un effet d’étonnement dans l’opinion publique“, décrit le politologue Dorian Dreuil sur franceinfo. Un choc qui peut accroître la participation des électeurs au vote selon lui.
Ce sera “une campagne très rapide, très flash, et donc une campagne de très haute intensité dans les semaines à venir. Elle est susceptible de remobiliser les électorats et il est probable, pour les mouvements politiques, d’avoir une campagne très très intense pour susciter un maximum de participation électorale. “explique l’expert associé à la Fondation Jean-Jaurès.
En revanche, il va falloir activer toutes les couches de la société pour que les 48% de Français qui n’ont pas déposé de bulletin dans l’urne dimanche dernier aillent voter. “Ces élections doivent être l’affaire de tous, qu’il s’agisse de toutes les organisations qui interagissent dans la vie de la ville, ou des entreprises, des associations, du monde syndical ou autres.”
“C’est la responsabilité collective de dire aux gens qu’il sera important de voyager, de voter”, assure Dorian Dreuil. “Quand on ne peut pas voter parce qu’on avait déjà prévu de ne pas pouvoir y être”, il va falloir s’adapter, « trouver des solutions alternatives en amont, que ce soit par procuration notamment pour pouvoir participer à cette élection »insiste l’enseignant de l’université Paris-Nanterre.