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Durée de la vidéo : 2 minutes
A Nice, un internat pour déscolarisés qui a été inauguré dans la matinée du lundi 22 avril, en présence du Premier ministre, Gabriel Attal. Concrètement, comment ça marche ? Explications.
Pendant les vacances scolaires, deux élèves âgés de 15 et 13 ans déposent leurs sacs à l’école. Ils participent au premier voyage de remobilisation des jeunes, avec plus ou moins d’enthousiasme. Leur mère espère les tenir éloignés de leur quartier difficile de Nice (Alpes-Maritimes) pendant deux semaines. « Pour qu’ils puissent avoir des valeurs en termes de responsabilités et de vie quotidienne »justifie celui-ci.
Les stages bientôt étendus à d’autres établissements
20 jeunes âgés de 13 à 16 ans, rencontrés par le Premier ministre Gabriel Attal dans la matinée du lundi 22 avril, passeront 12 jours dans cet internat. Ces jeunes n’ont jamais commis de délit mais la plupart d’entre eux ont abandonné leurs études. Durant leur séjour, ils seront encadrés tantôt par des éducateurs associatifs, tantôt par des enseignants. Ils suivront des cours de théâtre, d’informatique, de sport et d’histoire. Le séjour est entièrement gratuit pour les familles. Le gouvernement souhaite l’étendre à d’autres établissements français lors des prochaines vacances scolaires.
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A Nice, un internat pour déscolarisés qui a été inauguré dans la matinée du lundi 22 avril, en présence du Premier ministre, Gabriel Attal. Concrètement, comment ça marche ? Explications.
Pendant les vacances scolaires, deux élèves âgés de 15 et 13 ans déposent leurs sacs à l’école. Ils participent au premier voyage de remobilisation des jeunes, avec plus ou moins d’enthousiasme. Leur mère espère les tenir éloignés de leur quartier difficile de Nice (Alpes-Maritimes) pendant deux semaines. « Pour qu’ils puissent avoir des valeurs en termes de responsabilités et de vie quotidienne »justifie celui-ci.
Les stages bientôt étendus à d’autres établissements
20 jeunes âgés de 13 à 16 ans, rencontrés par le Premier ministre Gabriel Attal dans la matinée du lundi 22 avril, passeront 12 jours dans cet internat. Ces jeunes n’ont jamais commis de délit mais la plupart d’entre eux ont abandonné leurs études. Durant leur séjour, ils seront encadrés tantôt par des éducateurs associatifs, tantôt par des enseignants. Ils suivront des cours de théâtre, d’informatique, de sport et d’histoire. Le séjour est entièrement gratuit pour les familles. Le gouvernement souhaite l’étendre à d’autres établissements français lors des prochaines vacances scolaires.