Samara à Montpellier (Hérault), Shemseddine à Viry-Châtillon (Essonne) ou encore Philippe à Grande-Synthe (Hauts-de-France)… Ces dernières semaines, plusieurs affaires impliquant des adolescents ont mis en lumière des violences extrêmes qui se déchaînent sur des mineurs. Au point que le Premier ministre a annoncé, le 18 avril, une série de propositions pour l’endiguer, parmi lesquelles la responsabilité parentale, le contrôle des écrans et l’autorité à l’école.
En déplacement à Nice, ce lundi 22 avril, Gabriel Attal vient également encadrer une expérimentation qui consiste à accueillir des élèves en décrochage scolaire et souffrant d’absentéisme dans un internat de la région. Une manière d’expliquer par l’exemple sa méthode de lutte contre cette délinquance juvénile.
Mais qu’en est-il…