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Durée de la vidéo : 4 minutes
Raphaël Glucksmann a mené la liste PS-Place publique aux élections européennes, qui a rassemblé 13,8% des voix, dimanche 9 juin. Comment se positionne-t-il contre l’union de la gauche ?
Les membres de l’ex-NUPES se sont réunis lundi 10 juin pour lancer une nouvelle alliance à travers un Front populaire. Raphaël Glucksmann, député européen et tête de liste PS-Place publique, tout d’abord des vœux « souligner la gravité du moment ». « Le président de la République a joué avec le feu. Il joue avec les institutions comme un adolescent »estime celui qui craint « une France contrôlée par Jordan Bardella, par Marine Le Pen, par Marion Maréchal ».
« Face à cela, il est impératif d’être à la hauteur du défi historique auquel nous sommes confrontés », estime la tête de liste PS-Place publique. Il souhaite « un cap clair » et pas “ne pas refaire le NUPES”. « Il y a eu un renversement du rapport de force » il ajoute. Se rappelant d’être “tête à gauche”Raphaël Glucksmann veut « fixer(s)des conditions ».
Ses conditions sont les suivantes : «un soutien indéfectible à la construction européenne”, « un soutien indéfectible à la résistance ukrainienne » mais aussi « un rejet, une abrogation de la réforme des retraites (et) de la réforme de l’assurance chômage et de la loi sur l’immigration ». Il souhaite également « une accélération de la transition écologique » et un « rejet de la brutalisation de la vie politique ». « Si ces conditions ne sont pas remplies, nous ne le faisons pas »il assure.
En cas de victoire de la gauche, il assure ne pas vouloir devenir Premier ministre, mais aimerait voir émerger une figure : Laurent Berger, l’ancien patron de la CFDT. “La bonne personne”selon Raphaël Glucksmann.
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Raphaël Glucksmann a mené la liste PS-Place publique aux élections européennes, qui a rassemblé 13,8% des voix, dimanche 9 juin. Comment se positionne-t-il contre l’union de la gauche ?
Les membres de l’ex-NUPES se sont réunis lundi 10 juin pour lancer une nouvelle alliance à travers un Front populaire. Raphaël Glucksmann, député européen et tête de liste PS-Place publique, tout d’abord des vœux « souligner la gravité du moment ». « Le président de la République a joué avec le feu. Il joue avec les institutions comme un adolescent »estime celui qui craint « une France contrôlée par Jordan Bardella, par Marine Le Pen, par Marion Maréchal ».
« Face à cela, il est impératif d’être à la hauteur du défi historique auquel nous sommes confrontés », estime la tête de liste PS-Place publique. Il souhaite « un cap clair » et pas “ne pas refaire le NUPES”. « Il y a eu un renversement du rapport de force » il ajoute. Se rappelant d’être “tête à gauche”Raphaël Glucksmann veut « fixer(s)des conditions ».
Ses conditions sont les suivantes : «un soutien indéfectible à la construction européenne”, « un soutien indéfectible à la résistance ukrainienne » mais aussi « un rejet, une abrogation de la réforme des retraites (et) de la réforme de l’assurance chômage et de la loi sur l’immigration ». Il souhaite également « une accélération de la transition écologique » et un « rejet de la brutalisation de la vie politique ». « Si ces conditions ne sont pas remplies, nous ne le faisons pas »il assure.
En cas de victoire de la gauche, il assure ne pas vouloir devenir Premier ministre, mais aimerait voir émerger une figure : Laurent Berger, l’ancien patron de la CFDT. “La bonne personne”selon Raphaël Glucksmann.