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Durée de la vidéo : 2 minutes
Au lendemain des élections européennes, cela se reproduit déjà. Lundi 10 juin, conséquence de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, élus et militants reprennent le démarchage pour tenter de convaincre dans trois semaines.
En courant, le compte à rebours est lancé. Il y a moins de 24 heures, Paul Midy était encore député de la majorité présidentielle dans l’Essonne. Lundi 10 juin, il est candidat en campagne express, et a trois semaines pour convaincre les électeurs avant de nouvelles élections législatives. Et pour ne pas perdre de temps, il a choisi de faire du porte à porte.
Dans le même temps, près de Bordeaux (Gironde), des élus écologistes tentent aussi de convaincre ceux qui peuvent être convaincus. Ils contactent par mail chacune des personnes inscrites sur les listes pour les élections européennes, et qui n’ont pas voté dimanche 9 juin.
“Beaucoup de gens vont être en vacances, il faut leur proposer des procurations pour pouvoir avoir un maximum d’électeurs pour les écologistes”, explique Maud Dumont, conseillère départementale EELV du canton de Talence (Gironde). Même chose dans les locaux du Parti socialiste près de Lyon (Rhône), où chaque minute compte. Les militants n’ont même pas eu le temps de ranger les tracts des élections européennes. Tout est à refaire : des professions de foi jusqu’aux choix des candidats.
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Au lendemain des élections européennes, cela se reproduit déjà. Lundi 10 juin, conséquence de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, élus et militants reprennent le démarchage pour tenter de convaincre dans trois semaines.
En courant, le compte à rebours est lancé. Il y a moins de 24 heures, Paul Midy était encore député de la majorité présidentielle dans l’Essonne. Lundi 10 juin, il est candidat en campagne express, et a trois semaines pour convaincre les électeurs avant de nouvelles élections législatives. Et pour ne pas perdre de temps, il a choisi de faire du porte à porte.
Dans le même temps, près de Bordeaux (Gironde), des élus écologistes tentent aussi de convaincre ceux qui peuvent être convaincus. Ils contactent par mail chacune des personnes inscrites sur les listes pour les élections européennes, et qui n’ont pas voté dimanche 9 juin.
“Beaucoup de gens vont être en vacances, il faut leur proposer des procurations pour pouvoir avoir un maximum d’électeurs pour les écologistes”, explique Maud Dumont, conseillère départementale EELV du canton de Talence (Gironde). Même chose dans les locaux du Parti socialiste près de Lyon (Rhône), où chaque minute compte. Les militants n’ont même pas eu le temps de ranger les tracts des élections européennes. Tout est à refaire : des professions de foi jusqu’aux choix des candidats.