Denis Gravouil, membre du bureau confédéral CGT, était invité sur franceinfo lundi.
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Temps de lecture : 1 min
“Sur l’assurance chômage, c’est une évolution permanente” du gouvernement, a dénoncé lundi 22 avril, sur franceinfo Denis Gravouil, membre du bureau confédéral de la CGT, alors que le gouvernement a annoncé qu’il fixerait de nouvelles règles d’indemnisation des demandeurs d’emploi à partir du 1er juillet, prenant acte des “désaccord” entre les partenaires sociaux.
L’exécutif prendra “un arrêté de carence” Qui va “dans le but de contribuer à la réalisation du plein emploi et de favoriser le retour rapide à l’emploi des chômeurs indemnisés”. Comme en 2019, patronat et syndicats perdent une nouvelle fois le contrôle de la définition de ces règles au profit de l’exécutif.
« Le drap blanc, mon œil !
«C’était écrit d’avance, cet échec“, regrette le syndicaliste, soulignant le fait que “Les lettres de cadrage que nous envoie le gouvernement sont tellement restrictives qu’on ne peut aboutir qu’à des réductions de droits pour les salariés ou à une absence d’accord.” “Sur l’assurance chômage, c’est une évolution permanente”selon Denis Gravouil, parce que « Avant même la fin des négociations, Gabriel Attal s’était déjà prononcé pour dire qu’il fallait réduire la durée des indemnisations. Une feuille blanche, mon œil !
“En fait, il s’agit de faire des économies aux dépens des chômeurs et de les culpabiliser en acceptant des emplois précaires”il a estimé, tandis que«Il n’y a déjà qu’un chômeur sur trois qui bénéficie actuellement d’une indemnisation.»
Denis Gravouil, membre du bureau confédéral CGT, était invité sur franceinfo lundi.
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“Sur l’assurance chômage, c’est une évolution permanente” du gouvernement, a dénoncé lundi 22 avril, sur franceinfo Denis Gravouil, membre du bureau confédéral de la CGT, alors que le gouvernement a annoncé qu’il fixerait de nouvelles règles d’indemnisation des demandeurs d’emploi à partir du 1er juillet, prenant acte des “désaccord” entre les partenaires sociaux.
L’exécutif prendra “un arrêté de carence” Qui va “dans le but de contribuer à la réalisation du plein emploi et de favoriser le retour rapide à l’emploi des chômeurs indemnisés”. Comme en 2019, patronat et syndicats perdent une nouvelle fois le contrôle de la définition de ces règles au profit de l’exécutif.
« Le drap blanc, mon œil !
«C’était écrit d’avance, cet échec“, regrette le syndicaliste, soulignant le fait que “Les lettres de cadrage que nous envoie le gouvernement sont tellement restrictives qu’on ne peut aboutir qu’à des réductions de droits pour les salariés ou à une absence d’accord.” “Sur l’assurance chômage, c’est une évolution permanente”selon Denis Gravouil, parce que « Avant même la fin des négociations, Gabriel Attal s’était déjà prononcé pour dire qu’il fallait réduire la durée des indemnisations. Une feuille blanche, mon œil !
“En fait, il s’agit de faire des économies aux dépens des chômeurs et de les culpabiliser en acceptant des emplois précaires”il a estimé, tandis que«Il n’y a déjà qu’un chômeur sur trois qui bénéficie actuellement d’une indemnisation.»