Fidèle à son identité, la première organisation de kickboxing revient porte de Versailles pour un combat explosif et toujours dans le sens du divertissement, avec notamment Cyril Benzaquen et Youssef Boughanem.
Avis aux connaisseurs mais aussi aux amateurs de grands combats. De nos jours, si vous n’aimez pas le buzz et que vous restez un puriste, pas facile de trouver l’événement qui vous fera vibrer. Eh bien, les agendas peuvent se remplir pour les quelques places restantes pour assister à Glory 91 à Paris samedi 27 avril prochain.
La gloire, ce sont les souvenirs d’une jeunesse portée par les sports de combat, les gladiateurs des temps modernes et les oppositions aux noms légendaires comme Peter Aerts, Ray Sefo, Remy Bonjasky ou encore Ernesto Hoost, Mark Hunt… Semmy Schilt, Badr Hari et évidemment notre ( la star inter)nationale Jérôme Lebanner avec un clin d’œil aux autres Frenchies passés par là… Notamment Grégory Choplin ou encore Cédric Doumbé qui y écrira une partie de son histoire.
Retour aux sources
L’organisation, initialement Golden Glory, fondée en 2006 par Bas Boon et Martijn de Jong à Amsterdam, a connu une opposition historique dans ses cercles européens et bien au-delà. A l’heure où la concurrence s’accélère et où le MMA bouscule tout sur son passage, à commencer par un public de plus en plus jeune et instruit aux réseaux sociaux, Glory mise sur une opposition et des messages de haut niveau et de qualité. très sportif pour un combat qui n’est jamais décidé d’avance.
Véritable spectacle dédié aux combats avec des valeurs martiales et l’envie de combattre sur le ring, des millions de supporters et de spectateurs suivent les athlètes à chaque épreuve. Des guerriers d’un autre temps et des combats qu’aucun prétexte n’aurait arrêté. Jusqu’au bout et sans jamais abandonner. C’est cet état d’esprit qui est cultivé dans la famille Glory. Et c’est avec des athlètes en mode guerrier que la carte de combat à Paris ravira les spectateurs.
Si le combat principal se jouera pour une ceinture mondiale entre le tenant du titre Endy Semeleer et Chico Kwasi, ce sont 8 Français à l’affiche dont Sofian Laidouni et Kevin Oumar dans le co main event. « Les combattants français ont toujours eu une place importante dans Glory. C’est une Nation qui regorge de talents et qui a une profonde culture des sports de combat » se souvient le nouveau PDG de l’organisation, un certain Marshall Zelaznik qui sait de quoi il parle, lui que l’on a si souvent croisé dans les couloirs des événements UFC Europe dont il avait la responsabilité et qui confirme son ambition avec le Glory : « Nous allons investir massivement sur le marché français pour attirer les meilleurs talents de ce pays dont nous savons qu’il regorge de talents ». La soirée sera diffusée sur DAZN, la première chaîne de combat : « En tant que diffuseur officiel de Glory, DAZN constate un engouement sans précédent pour la discipline en France. Nous sommes très heureux d’offrir à nos abonnés le meilleur des sports de combat” nous raconte Brice Daumin, CEO France et Suisse de DAZN.
La carte de combat est donc riche en oppositions avec notamment le Francilien Cyril Benzaquen qui revient sur le ring quelques semaines seulement après l’immense défi qui l’opposait à Yohan Lidon en février dernier.
Travailleur invétéré, sportif généreux et ambitieux, Cyril est un ambassadeur de la belle boxe et du goût de l’effort. En intégrant la gloire, il vise le titre. Un de plus. Mais pas n’importe qui.
Lui qui cultive depuis tant d’années le sens de l’entrepreneuriat, notamment aux côtés de son fidèle ami Yacine Berrabah, lui-même vétéran, s’est préparé comme à son habitude : ne rien laisser au hasard. Il aura notamment enfilé des gants avec le champion KSW MMA, le Franco-Marocain Salahdine Parnasse pour peaufiner sa préparation et continuer à écrire son histoire.
Constructeurs de combattants
Le Maroc sera également dignement représenté à Paris par 4 combattants dont le combattant et citoyen du monde, le belgo-marocain Youssef Boughanem. L’homme qu’on ne présente plus, l’homme aux plus de 240 combats n’a d’autre motivation que sa passion. Et c’est énorme. Contagieux et audacieux. Inspiration inépuisable d’une vie dédiée au combat et à la recherche de soi au service des autres. Le Maroc, on y pensera particulièrement au Dôme de Paris puisqu’il y a neuf mois, Badr Hari, grand événement, prenait le micro devant 4600 supporters pour annoncer qu’il n’avait pas le cœur de se battre après le tremblement de terre qui a frappé le Royaume provoquant des milliers de morts et de blessés. Forfait alors.
Une pensée fraternelle le 27 avril et une envie de se challenger à nouveau sur le ring pour Youssef qui accepte d’ajouter un défi supplémentaire à sa longue carrière. L’athlète qui a réalisé son premier combat de MMA le 27 janvier dernier, continue de s’entraîner le cœur oscillant entre pied-poing et arts martiaux mixtes. Samedi soir, il emportera avec lui un message intemporel : « Mettez tout votre cœur dans ce que vous faites. Croyez-y et travaillez. A partir de là, le sport devient une richesse qui ne s’achète pas et qui se partage”. C’est tout le défi de Glory et des champions qui s’affronteront sur le ring parisien ce samedi : transmettre passion, détermination et surtout inspiration avec une réalité que nous souhaitons conserver et valoriser : « Les athlètes ne sont pas des influenceurs, ce sont des bâtisseurs » confidences de celui qu’on surnomme « Terminateur » en Thaïlande et qui s’est préparé avec son équipe en famille avant de pénétrer sur le sol parisien samedi soir, trois mois après son dernier KO infligé en MMA.
Fidèle à son identité, la première organisation de kickboxing revient porte de Versailles pour un combat explosif et toujours dans le sens du divertissement, avec notamment Cyril Benzaquen et Youssef Boughanem.
Avis aux connaisseurs mais aussi aux amateurs de grands combats. De nos jours, si vous n’aimez pas le buzz et que vous restez un puriste, pas facile de trouver l’événement qui vous fera vibrer. Eh bien, les agendas peuvent se remplir pour les quelques places restantes pour assister à Glory 91 à Paris samedi 27 avril prochain.
La gloire, ce sont les souvenirs d’une jeunesse portée par les sports de combat, les gladiateurs des temps modernes et les oppositions aux noms légendaires comme Peter Aerts, Ray Sefo, Remy Bonjasky ou encore Ernesto Hoost, Mark Hunt… Semmy Schilt, Badr Hari et évidemment notre ( la star inter)nationale Jérôme Lebanner avec un clin d’œil aux autres Frenchies passés par là… Notamment Grégory Choplin ou encore Cédric Doumbé qui y écrira une partie de son histoire.
Retour aux sources
L’organisation, initialement Golden Glory, fondée en 2006 par Bas Boon et Martijn de Jong à Amsterdam, a connu une opposition historique dans ses cercles européens et bien au-delà. A l’heure où la concurrence s’accélère et où le MMA bouscule tout sur son passage, à commencer par un public de plus en plus jeune et instruit aux réseaux sociaux, Glory mise sur une opposition et des messages de haut niveau et de qualité. très sportif pour un combat qui n’est jamais décidé d’avance.
Véritable spectacle dédié aux combats avec des valeurs martiales et l’envie de combattre sur le ring, des millions de supporters et de spectateurs suivent les athlètes à chaque épreuve. Des guerriers d’un autre temps et des combats qu’aucun prétexte n’aurait arrêté. Jusqu’au bout et sans jamais abandonner. C’est cet état d’esprit qui est cultivé dans la famille Glory. Et c’est avec des athlètes en mode guerrier que la carte de combat à Paris ravira les spectateurs.
Si le combat principal se jouera pour une ceinture mondiale entre le tenant du titre Endy Semeleer et Chico Kwasi, ce sont 8 Français à l’affiche dont Sofian Laidouni et Kevin Oumar dans le co main event. « Les combattants français ont toujours eu une place importante dans Glory. C’est une Nation qui regorge de talents et qui a une profonde culture des sports de combat » se souvient le nouveau PDG de l’organisation, un certain Marshall Zelaznik qui sait de quoi il parle, lui que l’on a si souvent croisé dans les couloirs des événements UFC Europe dont il avait la responsabilité et qui confirme son ambition avec le Glory : « Nous allons investir massivement sur le marché français pour attirer les meilleurs talents de ce pays dont nous savons qu’il regorge de talents ». La soirée sera diffusée sur DAZN, la première chaîne de combat : « En tant que diffuseur officiel de Glory, DAZN constate un engouement sans précédent pour la discipline en France. Nous sommes très heureux d’offrir à nos abonnés le meilleur des sports de combat” nous raconte Brice Daumin, CEO France et Suisse de DAZN.
La carte de combat est donc riche en oppositions avec notamment le Francilien Cyril Benzaquen qui revient sur le ring quelques semaines seulement après l’immense défi qui l’opposait à Yohan Lidon en février dernier.
Travailleur invétéré, sportif généreux et ambitieux, Cyril est un ambassadeur de la belle boxe et du goût de l’effort. En intégrant la gloire, il vise le titre. Un de plus. Mais pas n’importe qui.
Lui qui cultive depuis tant d’années le sens de l’entrepreneuriat, notamment aux côtés de son fidèle ami Yacine Berrabah, lui-même vétéran, s’est préparé comme à son habitude : ne rien laisser au hasard. Il aura notamment enfilé des gants avec le champion KSW MMA, le Franco-Marocain Salahdine Parnasse pour peaufiner sa préparation et continuer à écrire son histoire.
Constructeurs de combattants
Le Maroc sera également dignement représenté à Paris par 4 combattants dont le combattant et citoyen du monde, le belgo-marocain Youssef Boughanem. L’homme qu’on ne présente plus, l’homme aux plus de 240 combats n’a d’autre motivation que sa passion. Et c’est énorme. Contagieux et audacieux. Inspiration inépuisable d’une vie dédiée au combat et à la recherche de soi au service des autres. Le Maroc, on y pensera particulièrement au Dôme de Paris puisqu’il y a neuf mois, Badr Hari, grand événement, prenait le micro devant 4600 supporters pour annoncer qu’il n’avait pas le cœur de se battre après le tremblement de terre qui a frappé le Royaume provoquant des milliers de morts et de blessés. Forfait alors.
Une pensée fraternelle le 27 avril et une envie de se challenger à nouveau sur le ring pour Youssef qui accepte d’ajouter un défi supplémentaire à sa longue carrière. L’athlète qui a réalisé son premier combat de MMA le 27 janvier dernier, continue de s’entraîner le cœur oscillant entre pied-poing et arts martiaux mixtes. Samedi soir, il emportera avec lui un message intemporel : « Mettez tout votre cœur dans ce que vous faites. Croyez-y et travaillez. A partir de là, le sport devient une richesse qui ne s’achète pas et qui se partage”. C’est tout le défi de Glory et des champions qui s’affronteront sur le ring parisien ce samedi : transmettre passion, détermination et surtout inspiration avec une réalité que nous souhaitons conserver et valoriser : « Les athlètes ne sont pas des influenceurs, ce sont des bâtisseurs » confidences de celui qu’on surnomme « Terminateur » en Thaïlande et qui s’est préparé avec son équipe en famille avant de pénétrer sur le sol parisien samedi soir, trois mois après son dernier KO infligé en MMA.