Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Une application permet désormais une meilleure cohabitation entre agriculteurs et riverains. Il permet de signaler les horaires d’application des pesticides sur les parcelles.
Dans le vignoble bordelais, c’est la saison des soins. Le soufre et le cuivre protègent les plantes des maladies, mais ils peuvent irriter les yeux et les voies respiratoires. Un viticulteur a donc prévenu ses voisins grâce à une application mobile. Pesticides, fongicides, désherbants : pour tous ces traitements, la loi impose aux agriculteurs de prévenir les riverains de leur exploitation. Mais l’application touche également un public plus large, si vous souhaitez vous promener ou vous déplacer.
En Gironde, plus de 100 000 hectares de vignes sont cultivés. Certains jardins sont situés à quelques mètres seulement des parcelles, comme celui de Patrick. Il juge l’application utile, mais souhaiterait que soit indiquée la nature des produits pulvérisés. Comme lui, en trois ans, 650 agriculteurs et 1 800 particuliers ont téléchargé l’application. Mais cela reste encore peu connu.
Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Une application permet désormais une meilleure cohabitation entre agriculteurs et riverains. Il permet de signaler les horaires d’application des pesticides sur les parcelles.
Dans le vignoble bordelais, c’est la saison des soins. Le soufre et le cuivre protègent les plantes des maladies, mais ils peuvent irriter les yeux et les voies respiratoires. Un viticulteur a donc prévenu ses voisins grâce à une application mobile. Pesticides, fongicides, désherbants : pour tous ces traitements, la loi impose aux agriculteurs de prévenir les riverains de leur exploitation. Mais l’application touche également un public plus large, si vous souhaitez vous promener ou vous déplacer.
En Gironde, plus de 100 000 hectares de vignes sont cultivés. Certains jardins sont situés à quelques mètres seulement des parcelles, comme celui de Patrick. Il juge l’application utile, mais souhaiterait que soit indiquée la nature des produits pulvérisés. Comme lui, en trois ans, 650 agriculteurs et 1 800 particuliers ont téléchargé l’application. Mais cela reste encore peu connu.