On sous-estime trop l’appétit d’innovation de la police et son sadisme envers les automobilistes new-yorkais. La police de New York vient de lancer un programme pilote visant à remplacer les sabots, ces mâchoires placées sur les roues des voitures en infraction, par un nouvel instrument de haute technologie appelé Barnacle. Ce double panneau adhésif jaune est placé par les agents sur le pare-brise des voitures, bloquant ainsi le champ de vision du conducteur. Inutile d’essayer de le retirer. Le Barnacle – balane en français – doit son nom de crustacé incassable à ses quatre ventouses motorisées exerçant une traction d’une demi-tonne sur le pare-brise. Démarrer et conduire la tête par la fenêtre ? Idée brillante. Mais cette fuite audacieuse et désespérée déclencherait une sirène et la géolocalisation de la voiture, risquant des ennuis bien plus graves.
En revanche, obéir n’a jamais été aussi simple : Poste de New York propose une vidéo montrant un automobiliste placide sortant son téléphone pour scanner le code QR du Barnacle, payant 250 $ en ligne, détachant et pliant le panneau avant de le déposer dans l’une des boîtes spéciales indiquées par l’application. Le système est déjà en place dans deux autres municipalités aux États-Unis. On attend de voir la réaction des New-Yorkais.
Atlas entre au musée
Atlas, le robot androïde de Boston Dynamics, tire sa révérence. Vraiment. Dans un court métrage touchant retraçant ses gloires et ses humiliations, ses pirouettes étonnantes et ses farceurs grotesques, la firme de robotique annonce la retraite de son plus célèbre humanoïde, bientôt rangé derrière la vitrine du musée de l’entreprise après une décennie d’acrobaties. Atlas, nous rappelle New York Times, n’a jamais été stupide
On sous-estime trop l’appétit d’innovation de la police et son sadisme envers les automobilistes new-yorkais. La police de New York vient de lancer un programme pilote visant à remplacer les sabots, ces mâchoires placées sur les roues des voitures en infraction, par un nouvel instrument de haute technologie appelé Barnacle. Ce double panneau adhésif jaune est placé par les agents sur le pare-brise des voitures, bloquant ainsi le champ de vision du conducteur. Inutile d’essayer de le retirer. Le Barnacle – balane en français – doit son nom de crustacé incassable à ses quatre ventouses motorisées exerçant une traction d’une demi-tonne sur le pare-brise. Démarrer et conduire la tête par la fenêtre ? Idée brillante. Mais cette fuite audacieuse et désespérée déclencherait une sirène et la géolocalisation de la voiture, risquant des ennuis bien plus graves.
En revanche, obéir n’a jamais été aussi simple : Poste de New York propose une vidéo montrant un automobiliste placide sortant son téléphone pour scanner le code QR du Barnacle, payant 250 $ en ligne, détachant et pliant le panneau avant de le déposer dans l’une des boîtes spéciales indiquées par l’application. Le système est déjà en place dans deux autres municipalités aux États-Unis. On attend de voir la réaction des New-Yorkais.
Atlas entre au musée
Atlas, le robot androïde de Boston Dynamics, tire sa révérence. Vraiment. Dans un court métrage touchant retraçant ses gloires et ses humiliations, ses pirouettes étonnantes et ses farceurs grotesques, la firme de robotique annonce la retraite de son plus célèbre humanoïde, bientôt rangé derrière la vitrine du musée de l’entreprise après une décennie d’acrobaties. Atlas, nous rappelle New York Times, n’a jamais été stupide