Le président ultralibéral argentin Javier Milei a parcouru les 3 000 kilomètres qui séparent Buenos Aires d’Ushuaia, la ville située à l’extrême sud du pays, comme un symbole pour annoncer que les États-Unis seraient son grand partenaire en matière de défense. Un alignement “idéologique” plus que “stratégique”, selon un éditorial deEl País Amérique.
Vêtu de l’uniforme de combat de la marine argentine, aux côtés du général et chef du Commandement Sud des États-Unis (Southcom), Laura Richardson, il a affirmé que « L’Occident était en danger » et que les Argentins avaient « une affinité naturelle » avec les États-Unis.
«Première étape pour récupérer les Malouines»
Il a annoncé la création d’une base navale commune en Terre de Feu, la région la plus méridionale du pays : “Il s’agit d’un grand centre logistique qui constituera le port de développement le plus proche de l’Antarctique et fera de nos deux pays la porte d’entrée du continent blanc”, a-t-il déclaré, sans annoncer plus de détails.
Le président ultralibéral argentin Javier Milei a parcouru les 3 000 kilomètres qui séparent Buenos Aires d’Ushuaia, la ville située à l’extrême sud du pays, comme un symbole pour annoncer que les États-Unis seraient son grand partenaire en matière de défense. Un alignement “idéologique” plus que “stratégique”, selon un éditorial deEl País Amérique.
Vêtu de l’uniforme de combat de la marine argentine, aux côtés du général et chef du Commandement Sud des États-Unis (Southcom), Laura Richardson, il a affirmé que « L’Occident était en danger » et que les Argentins avaient « une affinité naturelle » avec les États-Unis.
«Première étape pour récupérer les Malouines»
Il a annoncé la création d’une base navale commune en Terre de Feu, la région la plus méridionale du pays : “Il s’agit d’un grand centre logistique qui constituera le port de développement le plus proche de l’Antarctique et fera de nos deux pays la porte d’entrée du continent blanc”, a-t-il déclaré, sans annoncer plus de détails.