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Durée de la vidéo : 1 min
Une loi britannique controversée autorisant les migrants entrés illégalement en Grande-Bretagne à être expulsés vers le Rwanda a été adoptée après une longue bataille. Le gouvernement conservateur de Rishi Sunak espère dissuader les migrants de traverser la Manche.
Le vote est historique. Lundi 22 avril, le parlement britannique a approuvé un projet de loi autorisant l’expulsion vers le Rwanda des demandeurs d’asile entrés illégalement au Royaume-Uni, quelle que soit leur nationalité. Cela marque la fin de deux années de débats et de combats entre députés libéraux et conservateurs.
« Une honte » selon Amnesty International
« Il s’agit d’une législation horrible, cruelle, inepte et coûteuse. », souligne Tim Farron, député libéral-démocrate. De son côté, le député conservateur Andrew Sharpe considère le projet “patriotique”. Les demandeurs d’asile seront expulsés par avion vers des centres d’accueil au Rwanda, avant que leur dossier ne soit examiné. Si leur demande est acceptée, ils devront rester au Rwanda. Le Premier ministre Rishi Sunak assure que les premiers avions décolleront d’ici dix semaines, l’ONU ayant demandé à Londres de reconsidérer son plan. Amnesty International dénonce de son côté “une honte”.
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Une loi britannique controversée autorisant les migrants entrés illégalement en Grande-Bretagne à être expulsés vers le Rwanda a été adoptée après une longue bataille. Le gouvernement conservateur de Rishi Sunak espère dissuader les migrants de traverser la Manche.
Le vote est historique. Lundi 22 avril, le parlement britannique a approuvé un projet de loi autorisant l’expulsion vers le Rwanda des demandeurs d’asile entrés illégalement au Royaume-Uni, quelle que soit leur nationalité. Cela marque la fin de deux années de débats et de combats entre députés libéraux et conservateurs.
« Une honte » selon Amnesty International
« Il s’agit d’une législation horrible, cruelle, inepte et coûteuse. », souligne Tim Farron, député libéral-démocrate. De son côté, le député conservateur Andrew Sharpe considère le projet “patriotique”. Les demandeurs d’asile seront expulsés par avion vers des centres d’accueil au Rwanda, avant que leur dossier ne soit examiné. Si leur demande est acceptée, ils devront rester au Rwanda. Le Premier ministre Rishi Sunak assure que les premiers avions décolleront d’ici dix semaines, l’ONU ayant demandé à Londres de reconsidérer son plan. Amnesty International dénonce de son côté “une honte”.