“Il y a trois scénarios sur la table, dont la liquidation et la disparition du club”, a prévenu l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois, à la tête du club depuis 2021, qui ne devrait pas réinvestir pour combler les 42 millions d’euros (hors transferts) manquants pour revenir en L2.
Pourquoi Fenway s’est retiré
Il y avait pourtant de l’espoir avec Fenway Sports Group (FSG), propriétaire de Liverpool (Premier League) et intéressé à devenir le partenaire majoritaire du club au scapulaire. Mais les discussions avec FSG ont échoué, achoppant sur « deux éléments essentiels » selon Lopez.
« D’abord, les frais de fonctionnement du club et notamment du stade, entre le loyer annuel et les impayés. Ensuite le deuxième aspect, le plus catastrophique pour nous : la non-décision sur les droits TV » de la Ligue 1. « Le football français vient de prendre une claque et nous sommes en première ligne car en termes de timing, nous étions en négociation avec des gens pour qui c’était important. Donc le FSG s’est retiré », a-t-il regretté.
Les trois scénarios
A cinq jours de la reprise des travaux de la DNCG, trois scénarios sont donc sur la table. « Je ne veux pas donner de faux espoirs. On travaille sur les trois », a reconnu le président girondin, qui a déjà investi 60 millions d’euros de ses propres deniers depuis 2021.
« La première, c’est de trouver un partenaire de dernière minute. Nous avons été approchés par beaucoup de gens mais qui, malheureusement, n’ont pas les moyens. Pour un investisseur qui ne veut pas vendre de joueurs, l’investissement initial est de 200 millions sur les quatre ou cinq prochaines années. S’il vend des joueurs, c’est 80 millions d’euros », a-t-il précisé.
“Il y a trois scénarios sur la table, dont la liquidation et la disparition du club”, a prévenu l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois, à la tête du club depuis 2021, qui ne devrait pas réinvestir pour combler les 42 millions d’euros (hors transferts) manquants pour revenir en L2.
Pourquoi Fenway s’est retiré
Il y avait pourtant de l’espoir avec Fenway Sports Group (FSG), propriétaire de Liverpool (Premier League) et intéressé à devenir le partenaire majoritaire du club au scapulaire. Mais les discussions avec FSG ont échoué, achoppant sur « deux éléments essentiels » selon Lopez.
« D’abord, les frais de fonctionnement du club et notamment du stade, entre le loyer annuel et les impayés. Ensuite le deuxième aspect, le plus catastrophique pour nous : la non-décision sur les droits TV » de la Ligue 1. « Le football français vient de prendre une claque et nous sommes en première ligne car en termes de timing, nous étions en négociation avec des gens pour qui c’était important. Donc le FSG s’est retiré », a-t-il regretté.
Les trois scénarios
A cinq jours de la reprise des travaux de la DNCG, trois scénarios sont donc sur la table. « Je ne veux pas donner de faux espoirs. On travaille sur les trois », a reconnu le président girondin, qui a déjà investi 60 millions d’euros de ses propres deniers depuis 2021.
« La première, c’est de trouver un partenaire de dernière minute. Nous avons été approchés par beaucoup de gens mais qui, malheureusement, n’ont pas les moyens. Pour un investisseur qui ne veut pas vendre de joueurs, l’investissement initial est de 200 millions sur les quatre ou cinq prochaines années. S’il vend des joueurs, c’est 80 millions d’euros », a-t-il précisé.