«Je dois m’arrêter et réfléchir. Je dois répondre à la question de savoir si cela en vaut la peine, même si la droite et l’extrême droite tentent de traîner la politique dans la boue. Demandez-vous si je dois rester chef du gouvernement ou renoncer à ce grand honneur.»
C’est avec ces propos quelque peu dramatiques, rapportés par La Razon, que Pedro Sánchez a annoncé qu’il pourrait bientôt ne plus être Premier ministre espagnol.
Mercredi 24 avril en effet, en réaction à l’annonce de l’ouverture d’une enquête contre son épouse pour trafic d’influence et corruption, le leader socialiste a publié une lettre sur les réseaux sociaux dans laquelle il annonçait qu’il suspendrait son agenda politique jusqu’au 29 avril. . A cette date, explique le quotidien conservateur, “le Premier ministre annoncera sa décision” démissionner ou pas.
Plus tôt dans la journée du 24 avril, rapporte le journal conservateur Le Monde, « Un juge de Madrid a ouvert une enquête contre l’épouse du président du gouvernement, Begoña Gómez ».
Cette procédure découle de“une plainte déposée par Manos Limpias concernant les avantages obtenus par les entreprises auxquelles Begoña Gómez était liée”, résumé Le Monde. Manos Limpias étant identifié comme “un syndicat d’extrême droite”, précise le journal catalan La Vanguardia, Sánchez dit qu’il considère cette affaire plus comme une attaque politique que comme une affaire juridique.
“Un autre jeu d’acteur”
Cela n’a pas plu aux représentants politiques du parti d’extrême droite Vox, qui, à travers un communiqué relayé par le quotidien de centre gauche El País, évoquer “une nouvelle victimisation” Et “un nouveau jeu d’acteur” de Sánchez.
De son côté, le Parti populaire (PP, droite traditionnelle) évoque aussi la victimisation orchestré par son adversaire socialiste et y voit un bluff de la part du Premier ministre. Selon le PP, Sánchez ne quittera pas le pouvoir lundi.
«Je dois m’arrêter et réfléchir. Je dois répondre à la question de savoir si cela en vaut la peine, même si la droite et l’extrême droite tentent de traîner la politique dans la boue. Demandez-vous si je dois rester chef du gouvernement ou renoncer à ce grand honneur.»
C’est avec ces propos quelque peu dramatiques, rapportés par La Razon, que Pedro Sánchez a annoncé qu’il pourrait bientôt ne plus être Premier ministre espagnol.
Mercredi 24 avril en effet, en réaction à l’annonce de l’ouverture d’une enquête contre son épouse pour trafic d’influence et corruption, le leader socialiste a publié une lettre sur les réseaux sociaux dans laquelle il annonçait qu’il suspendrait son agenda politique jusqu’au 29 avril. . A cette date, explique le quotidien conservateur, “le Premier ministre annoncera sa décision” démissionner ou pas.
Plus tôt dans la journée du 24 avril, rapporte le journal conservateur Le Monde, « Un juge de Madrid a ouvert une enquête contre l’épouse du président du gouvernement, Begoña Gómez ».
Cette procédure découle de“une plainte déposée par Manos Limpias concernant les avantages obtenus par les entreprises auxquelles Begoña Gómez était liée”, résumé Le Monde. Manos Limpias étant identifié comme “un syndicat d’extrême droite”, précise le journal catalan La Vanguardia, Sánchez dit qu’il considère cette affaire plus comme une attaque politique que comme une affaire juridique.
“Un autre jeu d’acteur”
Cela n’a pas plu aux représentants politiques du parti d’extrême droite Vox, qui, à travers un communiqué relayé par le quotidien de centre gauche El País, évoquer “une nouvelle victimisation” Et “un nouveau jeu d’acteur” de Sánchez.
De son côté, le Parti populaire (PP, droite traditionnelle) évoque aussi la victimisation orchestré par son adversaire socialiste et y voit un bluff de la part du Premier ministre. Selon le PP, Sánchez ne quittera pas le pouvoir lundi.