Blessé le 7 juillet lors du meeting de Paris, le Montpelliérain Kevin Mayer veut encore croire à un miracle dans l’épreuve du décathlon aux Jeux Olympiques de Paris. Il était en conférence de presse ce mardi 30 juillet.
Sous le coude depuis le 7 juillet et blessé aux ischio-jambiers, Kevin Mayer est sorti de sa loge mardi, au Club France, pour donner des nouvelles. Et elles ne sont pas bonnes.
Il a d’abord parlé de la véritable nature de son problème physique. On ne parle plus d’une déchirure. « Depuis Paris, mon monde a changé. Je ne communiquais pas car je ne voulais pas de négativité autour de moi. Mon tendon ischio-jambier est déchiré à 95%. Je suis à la limite d’avoir un tendon manquant. » Difficile de courir dans ces conditions, même s’il avoue avoir fait d’énormes progrès depuis le début du traitement et un travail énorme chaque jour.
Un test jeudi
“J’ai fait des choses surprenantes, j’ai envie d’essayer sinon j’aurai des regrets toute ma vie. Il faudra voir si je suis capable de sprinter 30 m pour être au Stade de France vendredi matin.” Ce sera jeudi, sur la même piste à Saint-Denis.
« Cinq jours après ma blessure, on m’a annoncé une opération et six mois sans athlétisme, je ne voulais pas y croire. Je suis allée voir d’autres médecins. J’ai touché le fond il y a trois semaines mais j’ai le sentiment d’avoir mon destin entre mes mains même si j’ai fait le deuil de mes espoirs avant ce 110 m haies. »
Nous sommes plus proches d’un forfait que d’une médaille olympique.
Blessé le 7 juillet lors du meeting de Paris, le Montpelliérain Kevin Mayer veut encore croire à un miracle dans l’épreuve du décathlon aux Jeux Olympiques de Paris. Il était en conférence de presse ce mardi 30 juillet.
Sous le coude depuis le 7 juillet et blessé aux ischio-jambiers, Kevin Mayer est sorti de sa loge mardi, au Club France, pour donner des nouvelles. Et elles ne sont pas bonnes.
Il a d’abord parlé de la véritable nature de son problème physique. On ne parle plus d’une déchirure. « Depuis Paris, mon monde a changé. Je ne communiquais pas car je ne voulais pas de négativité autour de moi. Mon tendon ischio-jambier est déchiré à 95%. Je suis à la limite d’avoir un tendon manquant. » Difficile de courir dans ces conditions, même s’il avoue avoir fait d’énormes progrès depuis le début du traitement et un travail énorme chaque jour.
Un test jeudi
“J’ai fait des choses surprenantes, j’ai envie d’essayer sinon j’aurai des regrets toute ma vie. Il faudra voir si je suis capable de sprinter 30 m pour être au Stade de France vendredi matin.” Ce sera jeudi, sur la même piste à Saint-Denis.
« Cinq jours après ma blessure, on m’a annoncé une opération et six mois sans athlétisme, je ne voulais pas y croire. Je suis allée voir d’autres médecins. J’ai touché le fond il y a trois semaines mais j’ai le sentiment d’avoir mon destin entre mes mains même si j’ai fait le deuil de mes espoirs avant ce 110 m haies. »
Nous sommes plus proches d’un forfait que d’une médaille olympique.