Réduits à 10 en fin de première période, les Olympiens ont concédé le nul contre Nice (2-2) ce mercredi, au Vélodrome, lors d’un match en retard de la 29e journée de Ligue 1.
HAUTS
Un derby spectaculaire
Un derby ne se joue pas, il se gagne. Même s’il n’y a pas eu de vainqueur au Vélodrome ce mercredi (2-2), les deux équipes ont tout tenté pour remporter les trois points dans ce derby méditerranéen. Une bataille ouverte avec des espaces et du jeu. À tel point qu’on ne savait jamais ce qui pourrait arriver. Le spectacle n’était pas seulement fait par les buts, mais aussi par l’apparence du match. En début de première période, Nice pouvait mener de deux buts, alors qu’en deuxième période, c’est Marseille qui menait au score sans forcément aller à l’encontre du cours du jeu.
Lire aussiLigue 1 : l’OM et Nice dos à dos, un nul qui ne arrange personne
La bonne attitude des dix Marseillais avec Aubameyang en chef de meute
A l’image d’Aubameyang, buteur sur penalty, mais surtout proche de donner l’avantage à son équipe dans le temps additionnel d’un sublime plongeon… sur la barre transversale, les Marseillais n’ont pas lâché prise. Défensivement, en restant compacts dans l’axe, mais aussi offensivement où ils ont échoué à plusieurs reprises à prendre un avantage sans doute définitif. L’attaquant international gabonais de l’OM était le symbole de cette attitude conquérante. Même avec un joueur en moins. Il faisait toujours les courses nécessaires pour presser et tenter de récupérer des ballons inoffensifs.
flops
Un débordement d’engagement fatal pour Moumbagna
Certains discuteront peut-être de son exclusion, la jugeant légitime ou non, mais l’attaquant camerounais, titulaire après son égalisation miraculeuse contre Toulouse (2-2), dimanche dernier, en a fait trop. Ses contrôles ratés sont en partie responsables de ses excès d’engagement bien trop fréquents. Ses deux fautes, qui ont donné lieu à un double carton jaune, n’ont pas été inventées par Marc Bollengier, arbitre du match. Même si ce dernier n’a pas non plus été un grand acteur de la rencontre. Notamment en sifflant un penalty pour l’OM qui a des allures de compensation.
Des Aiglons moins dangereux et en supériorité numérique
Alors qu’on voyait les Niçois se dérouler après le carton rouge de Moumbagna, ce fut tout le contraire. Oui, ils avaient la possession du ballon. Oui, ils ont égalisé, notamment grâce à une récupération catastrophique de Murillo. Mais on n’a pas eu le sentiment de voir une équipe qui voulait devenir folle pour faire tomber son adversaire. Les Aiglons ont eu leurs plus belles occasions en première mi-temps, lorsque l’OM a joué de toutes ses forces. Un problème de suffisance ? Ce match montre aussi que Nice est une équipe dangereuse en contre-attaque, mais pas en attaque. Ce n’est pas nouveau…
Réduits à 10 en fin de première période, les Olympiens ont concédé le nul contre Nice (2-2) ce mercredi, au Vélodrome, lors d’un match en retard de la 29e journée de Ligue 1.
HAUTS
Un derby spectaculaire
Un derby ne se joue pas, il se gagne. Même s’il n’y a pas eu de vainqueur au Vélodrome ce mercredi (2-2), les deux équipes ont tout tenté pour remporter les trois points dans ce derby méditerranéen. Une bataille ouverte avec des espaces et du jeu. À tel point qu’on ne savait jamais ce qui pourrait arriver. Le spectacle n’était pas seulement fait par les buts, mais aussi par l’apparence du match. En début de première période, Nice pouvait mener de deux buts, alors qu’en deuxième période, c’est Marseille qui menait au score sans forcément aller à l’encontre du cours du jeu.
Lire aussiLigue 1 : l’OM et Nice dos à dos, un nul qui ne arrange personne
La bonne attitude des dix Marseillais avec Aubameyang en chef de meute
A l’image d’Aubameyang, buteur sur penalty, mais surtout proche de donner l’avantage à son équipe dans le temps additionnel d’un sublime plongeon… sur la barre transversale, les Marseillais n’ont pas lâché prise. Défensivement, en restant compacts dans l’axe, mais aussi offensivement où ils ont échoué à plusieurs reprises à prendre un avantage sans doute définitif. L’attaquant international gabonais de l’OM était le symbole de cette attitude conquérante. Même avec un joueur en moins. Il faisait toujours les courses nécessaires pour presser et tenter de récupérer des ballons inoffensifs.
flops
Un débordement d’engagement fatal pour Moumbagna
Certains discuteront peut-être de son exclusion, la jugeant légitime ou non, mais l’attaquant camerounais, titulaire après son égalisation miraculeuse contre Toulouse (2-2), dimanche dernier, en a fait trop. Ses contrôles ratés sont en partie responsables de ses excès d’engagement bien trop fréquents. Ses deux fautes, qui ont donné lieu à un double carton jaune, n’ont pas été inventées par Marc Bollengier, arbitre du match. Même si ce dernier n’a pas non plus été un grand acteur de la rencontre. Notamment en sifflant un penalty pour l’OM qui a des allures de compensation.
Des Aiglons moins dangereux et en supériorité numérique
Alors qu’on voyait les Niçois se dérouler après le carton rouge de Moumbagna, ce fut tout le contraire. Oui, ils avaient la possession du ballon. Oui, ils ont égalisé, notamment grâce à une récupération catastrophique de Murillo. Mais on n’a pas eu le sentiment de voir une équipe qui voulait devenir folle pour faire tomber son adversaire. Les Aiglons ont eu leurs plus belles occasions en première mi-temps, lorsque l’OM a joué de toutes ses forces. Un problème de suffisance ? Ce match montre aussi que Nice est une équipe dangereuse en contre-attaque, mais pas en attaque. Ce n’est pas nouveau…