Invité de CNews mercredi soir, la tête de liste Reconquête ! a affirmé qu’elle « n’acceptera jamais qu’on banalise le fait de louer le ventre d’une femme pour une grossesse ».
Marion Maréchal persiste et signe. Après une publication X “Où est la mère?” Mardi, en réaction à l’annonce de paternité du créateur Simon Porte Jacquemus et de son mari, le patron de la Reconquête ! pour les Européens a suscité une vive polémique. Et est devenu la cible d’un feu croisé de critiques de la part de la majorité. En pleine campagne, la macronie a rapidement accusé l’ancien député FN du Vaucluse d’homophobie. Invitée de CNews mercredi soir, la dirigeante politique a tenu à préciser son propos. « Ce couple a clairement eu recours à la GPA (GPA) et toute la presse people s’en réjouit. Cependant, je n’arrive pas à m’habituer à la banalisation de cette pratique qui est monstrueuse et honteuse », a répondu Marion Maréchal. Selon qui « les quatre mots (« Où est la mère ? » NDLR) avaient pour but avant tout de poser la question de la GPA en France aujourd’hui ».
Après avoir fermement rappelé à X la promesse d’Emmanuel Macron en 2017 de ne pas légaliser cette technique, le vice-président du parti zemmouriste l’a martelé : «Je n’accepterai jamais qu’on banalise le fait de louer le ventre d’une femme pour une grossesse. Je ne suis pas un produit à louer. Mon utérus n’est pas une marchandise à louer. « Les enfants ne sont pas des biens de consommation. Il ne s’agit pas de biens à vendre pouvant faire l’objet d’un contrat.elle a continué.
Maréchal dénonce des « garanties de deux ans »
Selon Marion Maréchal, “dans les contrats des mères porteuses, dans un certain nombre de pays étrangers, (il y a), par exemple, des garanties de deux ans” quant à l’enfant. En quoi consisteraient-ils ? Si ce dernier “décède, notamment pour des raisons domestiques ou un accident de voiture, deux ans après le contrat, on le remplace comme un poisson rouge”, le candidat européen a également protesté. Il y aurait aussi « clauses sur l’avortement ». “Si la femme a des grossesses multiples et que cela ne convient pas aux futurs parents ou qu’ils ne veulent pas prendre de risques pour leur santé, ils ont le droit d’exiger qu’elle avorte.” Avant de conclure sur l’aspect financier de la pratique : “C’est un énorme business de trafic d’êtres humains qui représente 14 milliards d’euros en 2022”.
Invité de CNews mercredi soir, la tête de liste Reconquête ! a affirmé qu’elle « n’acceptera jamais qu’on banalise le fait de louer le ventre d’une femme pour une grossesse ».
Marion Maréchal persiste et signe. Après une publication X “Où est la mère?” Mardi, en réaction à l’annonce de paternité du créateur Simon Porte Jacquemus et de son mari, le patron de la Reconquête ! pour les Européens a suscité une vive polémique. Et est devenu la cible d’un feu croisé de critiques de la part de la majorité. En pleine campagne, la macronie a rapidement accusé l’ancien député FN du Vaucluse d’homophobie. Invitée de CNews mercredi soir, la dirigeante politique a tenu à préciser son propos. « Ce couple a clairement eu recours à la GPA (GPA) et toute la presse people s’en réjouit. Cependant, je n’arrive pas à m’habituer à la banalisation de cette pratique qui est monstrueuse et honteuse », a répondu Marion Maréchal. Selon qui « les quatre mots (« Où est la mère ? » NDLR) avaient pour but avant tout de poser la question de la GPA en France aujourd’hui ».
Après avoir fermement rappelé à X la promesse d’Emmanuel Macron en 2017 de ne pas légaliser cette technique, le vice-président du parti zemmouriste l’a martelé : «Je n’accepterai jamais qu’on banalise le fait de louer le ventre d’une femme pour une grossesse. Je ne suis pas un produit à louer. Mon utérus n’est pas une marchandise à louer. « Les enfants ne sont pas des biens de consommation. Il ne s’agit pas de biens à vendre pouvant faire l’objet d’un contrat.elle a continué.
Maréchal dénonce des « garanties de deux ans »
Selon Marion Maréchal, “dans les contrats des mères porteuses, dans un certain nombre de pays étrangers, (il y a), par exemple, des garanties de deux ans” quant à l’enfant. En quoi consisteraient-ils ? Si ce dernier “décède, notamment pour des raisons domestiques ou un accident de voiture, deux ans après le contrat, on le remplace comme un poisson rouge”, le candidat européen a également protesté. Il y aurait aussi « clauses sur l’avortement ». “Si la femme a des grossesses multiples et que cela ne convient pas aux futurs parents ou qu’ils ne veulent pas prendre de risques pour leur santé, ils ont le droit d’exiger qu’elle avorte.” Avant de conclure sur l’aspect financier de la pratique : “C’est un énorme business de trafic d’êtres humains qui représente 14 milliards d’euros en 2022”.