Une foule immense a envahi les rues du centre de Buenos Aires et de la plupart des grandes villes d’Argentine ce mardi 23 avril, dépassant même les attentes des organisateurs de cette mobilisation contre le gel du budget des universités publiques voulu par le président de la Nation argentine, Javier. Milei.
“Comme une Coupe du monde de l’éducation publique”, titre le quotidien d’opposition de gauche Page 12, en comparant la manifestation au rassemblement, historique par son ampleur, qui a célébré le sacre mondial de l’équipe argentine de football en décembre 2022. « C’était festif, hétéroclite, transversal. Elle a traversé les générations, les appartenances sociales et partisanes. Il a révélé (…) que l’éducation publique était une valeur identitaire fondamentale pour la société argentine, à laquelle il n’était pas question de renoncer.»
Huit cent mille personnes ont défilé dans la capitale, selon les organisateurs, et plus d’un million à travers le pays. C’est la troisième mobilisation
Une foule immense a envahi les rues du centre de Buenos Aires et de la plupart des grandes villes d’Argentine ce mardi 23 avril, dépassant même les attentes des organisateurs de cette mobilisation contre le gel du budget des universités publiques voulu par le président de la Nation argentine, Javier. Milei.
“Comme une Coupe du monde de l’éducation publique”, titre le quotidien d’opposition de gauche Page 12, en comparant la manifestation au rassemblement, historique par son ampleur, qui a célébré le sacre mondial de l’équipe argentine de football en décembre 2022. « C’était festif, hétéroclite, transversal. Elle a traversé les générations, les appartenances sociales et partisanes. Il a révélé (…) que l’éducation publique était une valeur identitaire fondamentale pour la société argentine, à laquelle il n’était pas question de renoncer.»
Huit cent mille personnes ont défilé dans la capitale, selon les organisateurs, et plus d’un million à travers le pays. C’est la troisième mobilisation