Avant la visite de Vladimir Poutine en Mongolie, Le Diplomate Citations de Thucydide, historien grec du 5e siècleet siècle avant J.C. : « Les forts font ce qu’ils peuvent faire et les faibles souffrent ce qu’ils doivent souffrir. »
Le président russe est attendu à Oulan-Bator le 3 septembre, où il rencontrera son homologue mongol, Ukhnaagiin Khürelsükh, et participera au 85e anniversaire de la bataille de Khalkhin Gol, victoire des armées soviétiques et mongoles contre l’Empire du Japon. « sera le premier État partie à la Cour pénale internationale (CPI) à accueillir le dirigeant russe puisqu’elle a émis un mandat d’arrêt contre lui” en mars 2023, l’accusant d’être impliqué dans les déportations d’enfants ukrainiens vers la Russie.
En vertu du Statut de Rome, traité fondateur de la CPI, signé par la Mongolie en 2000 et ratifié en 2002, les États parties sont tenus d’exécuter les mandats d’arrêt émis à La Haye. Bien que la CPI ne procède pas elle-même aux arrestations, elle compte sur les pays signataires pour fournir des informations sur les personnes arrêtées. « une coopération concrète à toutes les étapes des activités de la Cour ».
Mais pour Vladimir Poutine, « Il n’y a aucun risque d’arrestation » en Mongolie, commente un ancien conseiller du Kremlin cité par Bloomberg