“Après sept ans au pouvoir, c’est d’abord un réquisitoire contre sa propre politique”, pointe la tête de liste LR aux élections européennes, après le long discours du président jeudi.
Publié
Temps de lecture : 1 min
« Un président qui parle beaucoup mais qui, en réalité, lorsqu’il s’agit d’agir, produit très peu de résultats », a taclé la tête de liste LR aux élections européennes François-Xavier Bellamy jeudi 25 avril sur franceinfo, après le discours sur l’Europe d’Emmanuel Macron à la Sorbonne (Paris). Dans un long discours, le chef de l’Etat a notamment alerté sur le risque militaire et économique de voir l’Europe “mourir” ou être “relégué” contre d’autres grandes puissances.
« Il devrait d’abord s’interroger sur la responsabilité de sa politique de ces dernières années et celle de ses élus dans toutes les fragilités de l’Europe », a fustigé l’eurodéputé LR. “Après sept ans au pouvoir, c’est avant tout une mise en accusation de sa propre politique.”il a continué. « Je suis révolté par la contradiction entre les propos que nous entendons aujourd’hui d’Emmanuel Macron et les actions que lui et ses élus ont menées. » a-t-il crié, déplorant le “en même temps permanent” de la majorité présidentielle.
“Son temps de parole doit être compté”
Interrogé sur la saisie jeudi matin de la Commission nationale des comptes de campagne et du financement politique (CNCCFP) et de l’Arcom par son parti afin que le discours du président de la République soit décompté de la campagne Renaissance menée par Valérie Hayer, François-Xavier Bellamy constate que cette demande “C’est le moins que nous puissions faire.” “On n’est pas dupe de la manœuvre”il a souligné, même si, il reconnaît“le Président de la République a le droit de soutenir son candidat et d’entrer dans le débat électoral six semaines avant le scrutin. Nous demandons simplement qu’il soit considéré comme tel donc le temps de parole du Président de la République doit être compté , c’est le moins que nous puissions faire.
“Après sept ans au pouvoir, c’est d’abord un réquisitoire contre sa propre politique”, pointe la tête de liste LR aux élections européennes, après le long discours du président jeudi.
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« Un président qui parle beaucoup mais qui, en réalité, lorsqu’il s’agit d’agir, produit très peu de résultats », a taclé la tête de liste LR aux élections européennes François-Xavier Bellamy jeudi 25 avril sur franceinfo, après le discours sur l’Europe d’Emmanuel Macron à la Sorbonne (Paris). Dans un long discours, le chef de l’Etat a notamment alerté sur le risque militaire et économique de voir l’Europe “mourir” ou être “relégué” contre d’autres grandes puissances.
« Il devrait d’abord s’interroger sur la responsabilité de sa politique de ces dernières années et celle de ses élus dans toutes les fragilités de l’Europe », a fustigé l’eurodéputé LR. “Après sept ans au pouvoir, c’est avant tout une mise en accusation de sa propre politique.”il a continué. « Je suis révolté par la contradiction entre les propos que nous entendons aujourd’hui d’Emmanuel Macron et les actions que lui et ses élus ont menées. » a-t-il crié, déplorant le “en même temps permanent” de la majorité présidentielle.
“Son temps de parole doit être compté”
Interrogé sur la saisie jeudi matin de la Commission nationale des comptes de campagne et du financement politique (CNCCFP) et de l’Arcom par son parti afin que le discours du président de la République soit décompté de la campagne Renaissance menée par Valérie Hayer, François-Xavier Bellamy constate que cette demande “C’est le moins que nous puissions faire.” “On n’est pas dupe de la manœuvre”il a souligné, même si, il reconnaît“le Président de la République a le droit de soutenir son candidat et d’entrer dans le débat électoral six semaines avant le scrutin. Nous demandons simplement qu’il soit considéré comme tel donc le temps de parole du Président de la République doit être compté , c’est le moins que nous puissions faire.