Pedro Sánchez est «habitué à être sur le fil du rasoir», et son ultime “brillant” quitter son pays “remarquable” pour quelques jours. Avec ces formules, la presse espagnole tente de reprendre ses esprits après que son Premier ministre a exprimé sa volonté de suspendre son agenda avant d’indiquer, le 29 avril, s’il restera à son poste ou s’il démissionnera.
Dans une lettre publiée sur X (anciennement Twitter) le 24 avril, le leader socialiste affirme “victime d’un complot politico-médiatique orchestré par la droite contre son épouse et contre lui”, résumé Le Monde, un journal conservateur. Quelques heures plus tôt, les médias libéraux conservateurs Le confidentiel a révélé qu’un juge madrilène avait ouvert une enquête préliminaire contre « trafic d’influence et corruption » contre l’épouse de Sánchez, Begoña Gómez.
Cette enquête vise à faire la lumière sur les liens entre Gómez et le groupe touristique Globalia, dont la compagnie aérienne Air Europa a négocié un plan de sauvetage de plusieurs millions d’euros avec l’exécutif dirigé par Sánchez pendant la pandémie de coronavirus. Covid-19, détails El Confidentiel. Toujours selon le portail d’information, Globalia a également signé en 2020 un accord de parrainage avec un institut d’enseignement privé dirigé par Gómez jusqu’en 2022.
Secousses
Outre-Pyrénées, la journée du 24 avril donc “Une vie politique ébranlée”, assure Le périodique de Catalogne, classé centre gauche. Et maintenant,
Pedro Sánchez est «habitué à être sur le fil du rasoir», et son ultime “brillant” quitter son pays “remarquable” pour quelques jours. Avec ces formules, la presse espagnole tente de reprendre ses esprits après que son Premier ministre a exprimé sa volonté de suspendre son agenda avant d’indiquer, le 29 avril, s’il restera à son poste ou s’il démissionnera.
Dans une lettre publiée sur X (anciennement Twitter) le 24 avril, le leader socialiste affirme “victime d’un complot politico-médiatique orchestré par la droite contre son épouse et contre lui”, résumé Le Monde, un journal conservateur. Quelques heures plus tôt, les médias libéraux conservateurs Le confidentiel a révélé qu’un juge madrilène avait ouvert une enquête préliminaire contre « trafic d’influence et corruption » contre l’épouse de Sánchez, Begoña Gómez.
Cette enquête vise à faire la lumière sur les liens entre Gómez et le groupe touristique Globalia, dont la compagnie aérienne Air Europa a négocié un plan de sauvetage de plusieurs millions d’euros avec l’exécutif dirigé par Sánchez pendant la pandémie de coronavirus. Covid-19, détails El Confidentiel. Toujours selon le portail d’information, Globalia a également signé en 2020 un accord de parrainage avec un institut d’enseignement privé dirigé par Gómez jusqu’en 2022.
Secousses
Outre-Pyrénées, la journée du 24 avril donc “Une vie politique ébranlée”, assure Le périodique de Catalogne, classé centre gauche. Et maintenant,