Aujourd’hui, le plat végétarien est une sorte de mélange servi directement à la louche. S’agit-il de riz trop cuit, de bouillie de pâtes, de couscous ou, pour aggraver les choses, de ragoût d’orge ? Impossible pour un non-initié d’en identifier la composition. Un peu plus loin, on trouve des frites et des escalopes panées, mais c’est garanti de piquer du nez l’après-midi. Quant au stand de pizza, la file d’attente est si longue que tous les collègues auront déjà fini de manger depuis longtemps lorsque le précieux butin arrivera enfin dans l’assiette.
Internet regorge de témoignages, photos à l’appui, de personnes mécontentes de leur cantine. Tout le monde ou presque l’a déjà vécu : les cantines allemandes sont un lieu de cohésion entre collègues, mais moins pour le plaisir de déjeuner en groupe que pour celui de se plaindre ensemble. Se plaindre des prix bien sûr, mais aussi des portions, trop petites pour les uns, trop généreuses pour les autres. Et puis les plats végétariens, jamais appétissants – sans oublier les escalopes panées, qui ne figurent pas assez souvent à la carte.
Près de 16 millions d’Allemands utilisent chaque jour les services de restauration collective – dans les écoles,
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Créé en 1945, le « Journal de l’Allemagne du Sud » est l’un des principaux quotidiens suprarégionaux du pays. De tendance libérale, il est un grand défenseur des valeurs démocratiques et de l’État de droit. Il utilise ou a utilisé les meilleures plumes du pays. Sa page 3, qui publie des rapports majeurs et des articles de fond, est une institution. Le quotidien se distingue également par l’importance qu’il accorde à la culture, traitée dans ses pages immédiatement après l’actualité politique.
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Aujourd’hui, le plat végétarien est une sorte de mélange servi directement à la louche. S’agit-il de riz trop cuit, de bouillie de pâtes, de couscous ou, pour aggraver les choses, de ragoût d’orge ? Impossible pour un non-initié d’en identifier la composition. Un peu plus loin, on trouve des frites et des escalopes panées, mais c’est garanti de piquer du nez l’après-midi. Quant au stand de pizza, la file d’attente est si longue que tous les collègues auront déjà fini de manger depuis longtemps lorsque le précieux butin arrivera enfin dans l’assiette.
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