Entre 100 000 et 150 000 personnes sont attendues à travers le pays, selon une source policière, pour une mobilisation aux revendications diverses.
Le 1er mai retrouve son caractère traditionnel. Après la mobilisation “historique” l’année dernière contre la réforme des retraites, les syndicats reviennent à leurs pratiques habituelles ce mercredi, fête du Travail. Les défilés reprennent dans tout le pays avec des revendications diverses, allant de “contre l’austérité” à l’appel à la paix, voire à une Europe “plus protecteur”.
Selon une source policière contactée par l’AFP, entre 100 000 et 150 000 personnes sont attendues dans de multiples cortèges à travers la France, y compris à Paris. « Une grande mobilisation n’est pas prévue. Aucun slogan fédérateur n’émerge », ajoute cette source. A Paris, le cortège doit partir à 14 heures de la place de la République en direction de la place de la Nation. Une certaine unité est attendue, avec la présence de la CFDT et de l’Unsa aux côtés de la CGT, de la FSU et de Solidaires. Selon l’AFP, entre 15 000 et 30 000 personnes sont attendues dans la capitale.
Mobilisation de l’ultra-gauche et de l’ultra-droite
Selon Le Parisien , qui a pu consulter une note de renseignement, une mobilisation de “l’ultra-gauche” et des « étudiants politisés » est jugé “très probable” dans un contexte géopolitique tendu avec la guerre en Israël et le Hamas. Des groupes d’ultra droite sont également attendus, notamment à Rennes, Nantes, Lyon, Toulouse et Grenoble, selon nos confrères. D’après cette même note, « 400 à 800 éléments à risque » pourrait rejoindre le cortège parisien.
Par ailleurs, selon les informations de franceinfo, des slogans opposés aux Jeux olympiques, dénonçant leur organisation dans des conditions jugées inacceptables et avec des officiels insuffisamment payés, pouvaient être entendus dans les cortèges. Certains agriculteurs pourraient également mener des actions ciblées, leur mouvement de contestation n’étant pas éteint, souligne une source proche du ministère de l’Intérieur qui franceinfo interrogé.
En 2023, les huit principaux syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) ont défilé ensemble, une première depuis près de quinze ans. Malgré des heurts parfois violents, la police a dénombré près de 800 000 manifestants, contre environ 116 000 en 2022. De son côté, la CGT avait estimé le nombre de manifestants à 2,3 millions en 2023, contre 210 000 en 2022.
Entre 100 000 et 150 000 personnes sont attendues à travers le pays, selon une source policière, pour une mobilisation aux revendications diverses.
Le 1er mai retrouve son caractère traditionnel. Après la mobilisation “historique” l’année dernière contre la réforme des retraites, les syndicats reviennent à leurs pratiques habituelles ce mercredi, fête du Travail. Les défilés reprennent dans tout le pays avec des revendications diverses, allant de “contre l’austérité” à l’appel à la paix, voire à une Europe “plus protecteur”.
Selon une source policière contactée par l’AFP, entre 100 000 et 150 000 personnes sont attendues dans de multiples cortèges à travers la France, y compris à Paris. « Une grande mobilisation n’est pas prévue. Aucun slogan fédérateur n’émerge », ajoute cette source. A Paris, le cortège doit partir à 14 heures de la place de la République en direction de la place de la Nation. Une certaine unité est attendue, avec la présence de la CFDT et de l’Unsa aux côtés de la CGT, de la FSU et de Solidaires. Selon l’AFP, entre 15 000 et 30 000 personnes sont attendues dans la capitale.
Mobilisation de l’ultra-gauche et de l’ultra-droite
Selon Le Parisien , qui a pu consulter une note de renseignement, une mobilisation de “l’ultra-gauche” et des « étudiants politisés » est jugé “très probable” dans un contexte géopolitique tendu avec la guerre en Israël et le Hamas. Des groupes d’ultra droite sont également attendus, notamment à Rennes, Nantes, Lyon, Toulouse et Grenoble, selon nos confrères. D’après cette même note, « 400 à 800 éléments à risque » pourrait rejoindre le cortège parisien.
Par ailleurs, selon les informations de franceinfo, des slogans opposés aux Jeux olympiques, dénonçant leur organisation dans des conditions jugées inacceptables et avec des officiels insuffisamment payés, pouvaient être entendus dans les cortèges. Certains agriculteurs pourraient également mener des actions ciblées, leur mouvement de contestation n’étant pas éteint, souligne une source proche du ministère de l’Intérieur qui franceinfo interrogé.
En 2023, les huit principaux syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) ont défilé ensemble, une première depuis près de quinze ans. Malgré des heurts parfois violents, la police a dénombré près de 800 000 manifestants, contre environ 116 000 en 2022. De son côté, la CGT avait estimé le nombre de manifestants à 2,3 millions en 2023, contre 210 000 en 2022.