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Mise à jour
Durée de la vidéo : 2 minutes
Les gérants de restaurants, boulangeries et discothèques de Saint-Tropez, dans le Var, recherchent des saisonniers pour cet été. Le problème est que ces derniers se font rares car confrontés à une pénurie de logements.
Saint-Tropez (Var) prépare la saison estivale. L’été, chaque jour, des dizaines de milliers de touristes viennent goûter au charme du petit port provençal. Et pour les accueillir, il faut du monde. Le problème est que les travailleurs saisonniers sont confrontés à une pénurie de logements. Dans un restaurant de la ville, trois employés sont portés disparus. “Ils sont nombreux à venir travailler, mais ils ne peuvent pas être hébergés. S’ils n’ont pas de logement, nous ne pouvons pas les embaucher, car ils peuvent nous écraser à tout moment de la saison. »regrette Angélique Marcadet, chef de rang du restaurant « La Pérouse ».
Une boulangerie a elle aussi besoin de recruter en urgence, face à l’afflux de clients, mais ne trouve personne. Hôtels, plages privées, discothèques… Les besoins sont immenses. Ce n’est pas la mairie qui dira le contraire. Elle doit embaucher 80 personnes chaque année. Pour en accueillir une partie, la ville a installé 28 bungalows. Les agents de sécurité, le personnel de la garderie ou du musée paient tous 100 euros par mois de loyer.
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Les gérants de restaurants, boulangeries et discothèques de Saint-Tropez, dans le Var, recherchent des saisonniers pour cet été. Le problème est que ces derniers se font rares car confrontés à une pénurie de logements.
Saint-Tropez (Var) prépare la saison estivale. L’été, chaque jour, des dizaines de milliers de touristes viennent goûter au charme du petit port provençal. Et pour les accueillir, il faut du monde. Le problème est que les travailleurs saisonniers sont confrontés à une pénurie de logements. Dans un restaurant de la ville, trois employés sont portés disparus. “Ils sont nombreux à venir travailler, mais ils ne peuvent pas être hébergés. S’ils n’ont pas de logement, nous ne pouvons pas les embaucher, car ils peuvent nous écraser à tout moment de la saison. »regrette Angélique Marcadet, chef de rang du restaurant « La Pérouse ».
Une boulangerie a elle aussi besoin de recruter en urgence, face à l’afflux de clients, mais ne trouve personne. Hôtels, plages privées, discothèques… Les besoins sont immenses. Ce n’est pas la mairie qui dira le contraire. Elle doit embaucher 80 personnes chaque année. Pour en accueillir une partie, la ville a installé 28 bungalows. Les agents de sécurité, le personnel de la garderie ou du musée paient tous 100 euros par mois de loyer.